xt74j09w3w11 https://exploreuk.uky.edu/dips/xt74j09w3w11/data/mets.xml  France  1793-09-06 This bulletin is part of a collection of newspapers and journals published during the French Revolution, collated by unknown person, representing both sides of the revolution. Call Number Rare Books: AP20 .R235 bulletins Rare Books: AP20 .R235 French   This digital resource may be freely searched and displayed in accordance with U. S. copyright laws French Revolution publications France. Assemblée nationale législative (1791-1792) France -- History -- Revolution, 1789-1799 Vedette; ou, Gazette Du Jour, 6 September 1793 text Vedette; ou, Gazette Du Jour, 6 September 1793 1793 1793-09-06 2023 true xt74j09w3w11 section xt74j09w3w11 ’25: M,

 

 

 

 

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GAZETTE DU IQUR.

FxquAzs,

cine je vais , (our ce cu? i‘enrends,

ae grands évenemens

(e prepxrem; )e luis an them: toulce

fur is champ ) je mus en infiruis; ce que vous .

éconvrire7 ‘ ce que vans apprendrez ”fakes-la moi favoir , it: is; publie fur [heuim

 

lid/2 dcuxiémc de [a Rejuublz'quc F/‘angaise.

Du Vcndrcdi 6 Septembre i793,

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FRANCE.

Dc wilds ,v [c I 5 44012:. -—— Dc’claration de don
, Antonio Ricardo; , Capitailzc ~ gérze’rdl dc [’ar-
mée Espag/zoz’c‘.

Tout soldat frangais, allemand, polonnis,
hongrois , on de quelque nation qu’il SOiE, qui

uirtera Ie dmpeau an parzi‘ qui opprime CE
dévore 121 France, regevm 50 iivres, argent comp-
mm, 6: ie plix de son cheval, harnuis , armes
et mémc dc son uniforme, s’il veur s’en defairc:
on lui donnem en ontre ie prét et is pain :‘1
Fig‘xiéres 0:! :1 Barcelona, sans qu’il soit nbligé
23. rien 5 er s’il vent s’cngager librement dans les
corps frazzgais que i'am forme , on 111i donnera
double engagement; on s’ii est d’une autre na—
tion que la fmngaise, i1 sets. admis dans les
gardes—walonnes, dans les tégimens étrangers
ou suxsses.

Voilfi comma on rraire les soldazs qui quirtent
1111 part1 qui sacrifie er tourmenre ses fréres i
seg capiices er a sa rage, comma tous les Pram
gals qui ne pensent pas comme lui.

Proclamation du gc’nc’ral en chef dé l'arme’c dc;
Pyrenne’cs - Orientalex.

Une déclamtion du général en chef de l’ar:

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mée ennemie a été répandue dans l'armée d_e
is; répubiique. Cctce déclamtion 0310 um viiapr:

4 ceux qui voudroicnt combattte contra-lent pa—
trie , ajoutant qu’iis ne femur. que qumeriles
drapeaux d’un parci qui domine aujourd’hui la'
France.

Soldats de la liberté! qu'onr produic sur vous
ces infémes propositions? L’indlgnation , 16 111(3—
pris. Ce génétal des phalanges d’esclaves , c§—
claw: lui—méme, ignore ce que c’est que la h~
bsrcé : i1 ignore les sentimsns fiers er éncrgiques
de ccux qui combdttent pour Ccue cause. Les
Espagnois, abrutis dans les préjugés, ne peu~
vent s’éievc: aux grands scmimens , aux beaux
mouvemens des defenseurs des droits tie l'hommc
de la liberté 6: dc i’égaiité. Tous les combats
d’une rcpubiique naissame leur paroissent des
monstruosités, cemme si la liberté pouvoit se
fixer sans orages, iorsque tan: de fléanx viennenc
retarder l’établissement de ses bienfaits.

Camarades , quelle confiance pouniez — vous
prendre dAnS un ennemi qui maltmire ses pri—
sonniers , qui incendie ies villages, et qui exerce
des cruantés sur des patriotes‘. mais vorre mé«
pris, votre indignation me me laisseut rien 2i
ajoute: sur les propositions fairs: dang $939

 

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infime de’claration. C’esr les armes 311:; main 1

que nous y répondrons.
Signe’, Puget Barbantanne.

De Saumur, 1e 30 amt, (‘1 [a commune de
Paris.

a Républicains mes collégues, enfin le jour
décisif va paro'i'rre on la republique doit triom—
pher de ces infélmes parricides qui n’ont cessé
de lui déchiter 1e C(EUL‘ dans la déparrement de
la Vendée. Déji les rebellcs voient ieurs perres
inévirables; déji leurs predicuns fanatiques disenr
en Chair : ([ue s’ils ne redouble”: dc pcinc at de
courageJ tout ext perdu. Ces phrases ont été pro-
noncées climanchc detnier d Cboller', mais elles
ne leur on: pas réussi, cat leur armée se dis—
sour; goo hommes de'la gnrnlson de Mayence
viennent d’arrrver avec leur artillerie volante;
ils ont été tcgus comme ils devoient l’érrc: nous
attentions RVEC impatience 1e retour du général
Rossignol, qui doit étre Cl Paris, ’et que les
députés Goupilleau er Bourdon—d’Oise ont sus-
pendu, ic ne snis ponrquoi, car c’esr un sans-
culotte vraiment republican). Snuterte commande
la ville cle Saumur en son absence. Snlornon
cs: i Doué avec 5000 hommes er deux pieces
de canon. Son avant—gardc lmrcelle tous les jours
celle des bngands du core de 'Villlers, Coron,
et Chollet. Tous les jours on nous nméne de
Ie'urs prisonniersg et ce qu’il y :1 de fort plai-
sant, c’eSt que (les hussards nous alent ameié,
ces jouts-ci, un comiré complet de 15 de ces
scélémts avec un (le leur fitle-de-cantp. Je pense
(1110 la commotion républicaine sera dirigee snr
trois points; le Premier vet's Nantes; le secoml
vers Lugon et les Sables; le rroisiémo , on nous
sommes, tientlra lc: mlneu pour Cmpécher la
jonction de ces corluins—li. Je crois, d’nprés
routes ces mesure , qne leur perte est inevitable ,
er que notre trlomphe csr assure", et, s’ll étoit
nécessaire {l notre vicrozre, dc faire marcller
tou’s les braves saus—culortes (les campagnesJ
ils s’empresseroient oe nous suivre, aver: d’au-
taut plus de plaisir et de mison, qne lcur abun-
dame moisson est terminée. Je vous envwie ci—
joint plusicurs jusemcns , entre aurres , (in de
L1.Pclouse , flnneuxrontre révolutionnaire , Llont

nous 'avcms, mononcc la mort, (n new: 0': ses.

défenswfiéreset astucleusss. La re'yubfio e ‘e-
me de lui, it ce qu’on assure , de 30 £1 40

 

 

 

 

 

 

mllle livres de rentes, qui fetont plnisir 2‘1 quela'
ques sans—culottes indxgens. Signs”, FELIX. n

H P. S. du 3r (10:22. Je vous envoie copie
fidéle de l’ordre cl’lner, clans lequel on annonce
deux vzctoires remportées snt les rebellesg l’une
:‘1 la llocbe-sur—Yon, vers les Sables, ct l’au—
[re 51 Thouars , Airvenux et Saint-loup. Comme
les details dc ces deux aflhlres varlenr ‘J l’lnfini ,
je me réserve de vous en faxre part , lorsgue la.
vérité les aura fiixees. Custines :1 la tere tran-
chée; rant mleux‘. Camille, Abraham Carrefour,
(lit la Felouse, ancien officier cl’attillcne, ci—
devant noble , er Chevalier de l’ordre militaire
de Saint—Louis, étoit convaincu (le crimes cl:
hautc trabison envers la république. n

P:zr£s.— Le rassemblement ccnsidérable d’ou-
vriers qui s’csr fair bier 21 la place de Gréves,
n’a eu nucune suite ffichens’e 3Cbaumette s’est
charge d’aller porter leurs doléantes :l 13 con-
vention. Le president let]: a répondu qu’elle
s’occupoit des subsismnces et de fixer le mam"
mum cles dcnrées. Hier l’afiluence aux porres
des boulangers a roujours éré' aussi conside-~
fable.

§On assure que l’amba