xt763x83nb9j https://exploreuk.uky.edu/dips/xt763x83nb9j/data/mets.xml  France  1793-09-29 This bulletin is part of a collection of newspapers and journals published during the French Revolution, collated by unknown person, representing both sides of the revolution. Call Number Rare Books: AP20 .R235 bulletins Rare Books: AP20 .R235 French   This digital resource may be freely searched and displayed in accordance with U. S. copyright laws French Revolution publications France. Assemblée nationale législative (1791-1792) France -- History -- Revolution, 1789-1799 Vedette; ou, Gazette Du Jour, 29 September 1793 text Vedette; ou, Gazette Du Jour, 29 September 1793 1793 1793-09-29 2023 true xt763x83nb9j section xt763x83nb9j ._ #1
i.

“uncanny u—az»;¢'.:r.‘1mu —. ~ =-

GAZ.ETTE DE

 

Baum; AIS, a—ie grands
me )e mas, (out :3 qua i'cntem

 

éVdnmrEfiS (e prépzrent; je hm en Vicar“ : tau-ice

s , fur 1e champ , je vous en infirm , ce qua vous

écouvrirez , ce que vous agtprendrez , Fakes—la mo? favoir . it 16 pllbhfi “1" ”19““:-

 

 

 

 

le deuxiéme ([6 [a Republique Fran‘caisen

Du Dimanche 2.9 Septembre 1793.

W

NUUVELLBS iiTlKANGf—LRES.

Dc mefort, [e x6 sepzemlzrc. —-—— Le Roi
5‘22 Prusse a fair Inner l’hotcl de la maison rouge.
Ainsx ce souvemin passrsm l’hiver dans nos
mum avec quelques milie hommes pour sa gatde.

\

11 $5: fan}: aussi qu’xl 9.1: pensé :i :etourne: a
Balm.

On _a calculé que le transport de l’artillerie
aumclncnne avoxc Cofité 91 l’empeteux 53 mllllons
de flcnns.

De_ Genéve , [e 10 Septenzbre. —- Nous atten—
dons xci, dc jour en jonr, des émigrés artilleuts.
La ville ‘de Lyon ayant bésoin d’ofiiciers en
cctte pame, les 3 invités :1 venir se joindrc 2‘1
cu); pong la conquéte du Krone. Soixantq-quacre ,
mnr ofhciers génémux qué capitaines et lleuce—

nans, doivent Etre en marche en ce momcnr.

De_szmm, [e 16 septflmbre. -— Les princes
{muons-émnt parvcnusé se procure: une copie
de l’mvnation faite par, le vchevalier dc Pigne-
rolfas , sous leur attache , filtous Les émigrés du
Pouou, ‘de [’Anjou e: desla Brétagne , '2‘1 l’effiet

de se rendre :‘1 Londres pour passer '3. l’armée-

de GaSton , ont fail: écrire i ce frangais une
lettre :tés—severe , dans laquelle ils lui mppellent
le secmenc quL attachent les émigrés A leurs

 

 

 

 

 

 

 

 

 

petsonnes , e: lui défendent :tés - expressé'ment
de regevoir l’inscription d'aucuns gennlshommes
d’aumnt que d’un moment :‘1 Fauna les ordres
son: donnés pour retablir la maison du Roi:
du moins on fair courir Ie bruit que déjzi le
maxquis d’AutichamP a obtenu l’agremem pour
recomposer la gcndarmerie.

I" n A N c a.

De [a fan?! (1’: Bienenwald) [e 2.8 septemlvrc.

Je m’emprcsse , citoysn , de vous écrire pour
vous dunner des démlls dcs affaires que nous
avons eu depuis avanr—hier avec les satellites
des dcspotes conjurés pour déttuire notre répu-
blique. Chaque soldat de l’atmée est un 'vrai
héros , chncun donne des pteuves d'un courage
imincible. Hier une poignée de républicains a.
chassé nos cnucmis d’un paste important qu'ils
occupoient daus le bois auprés dc- Scheid, mal-
gré 1e fen continuel des batteries cachées u’ils
faisoiem jouer pour disperser nos titailleurs. lu-
sieurs ont été blessésJ mais on tematquoit sui:
la figure des plus u‘mltraités‘. cet ai: de satisfac;
tion qu’inspire 19. cause que nous deffendons';
tous , ma‘gré les douleurs queleur occasiunnoiem:
curs blessures, crioient: Viv la re’publique. On
a vu titer iusqu'fi 5 coups de fusil, guoique

 

 ~g'.

blessés dangereusement. Uu caporal clu x" ba-
millon de la Corréze n’a pas cessé le feu quoi-
qu’une balle lui efit emport'e un doigt de la
main gauche; on a vu des volontaires de ce laa—
taillon, aprés avoit fair feu depuis 1e mam],
6m: obligés de pisser sur le canon de leur fusil
pour le refroiclir, cle mauiére a pouvoit le char-
ger sans que la poudre ne s’enflammat; on en
8 Va d’autres pisscx dans le canon pour le lave:
et couper un lambeau de lem- chemise pour le
{cotter en dedans. Ces fairs sont aurhentiquc—s;
ils ne’manqucnt pas de témoins, ils sont fiits
pouf élever les ames les plus pusillanimes; llS
doivenr train/er place dans vos annales. Le me—
me bataillon manquant cle carcouclies, ne vonlnz:
pas se recirer 5 il forga les ennc-mis la bayonnette
aux reins, an pas de charge, lit morclre la pour
siére a un grand nombrc, s’empara clu posre
qn’ils occupoient, et fit bullet les tentes qui
lcur servoient dc repaires. Les scélérars com-
mandant le massacre au nom de leur religion;
ils avoien: dressé dams une barraque construice
de branches, une espece d’autel, tapisse’e d’i—
mages; sur ce't autel éroir un pare frais qui de—
voic sans doute servir a nourir leur minisrre;
les misérables our été ponssés si vivement que
la paté est rested la n erci de nos volontaires,
qui ont suppléé au prétre fugirif. Plusieurs d3
ccs malheureuses victimes de l’ambition des rois
coalisés ont été faite‘s prisonniéres.-On axiom/é
sur la place qu'ils on: abandonnée, du mauvais
pain cle munition , des marmitesavec leur Soupe
des pots i'emplis de pommes de terre, des pe-
tites écuelles pleines cle cafie au lair.J don: leuis
ofliciers devoient sans—cloure radouber leurs es-
tomacs, nos volonraires on: suppléé a lent dé—
faut. Le bataillon de la Corréze enfin s’esr cm~
paré de deux ordounances autrichiennes yon les
2 fouillées , elles ont été trouvées munies de
papiers porzant Ordre expi‘es aux généraux d'at.
taquer Lauterbourg. Dans le moment oil j’écris
on va battre la charge; il faur qu’ils Fuient: en-
tore, qu’ils abandonnent une terfe' qu'ils n’ont
ue trop sou'il’lée' par leur présence.’ L’affluence
:les déserteu‘rs est immense. Notfe artillerie- a
déjzl mis le Pen 5 plusieurshiaisons de 'SChéid;
les paysans de ce village sonr indigues d’étre
frangais, on 165 a remarque’s a la tere des ti-
tailleurs eunemig faire' feu sur nos soldars ié—
publicains‘. ' ‘

(2-)

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_._...,.......__a_._._. _..._.v

‘Inr

 

 

 

 

 

 

Commune de Paris; Se’ance du 2.6 “pram/arc.

Sur l’arréré pris avant—hier par le conseil ,
qui ordonne le brfilement du lit dc Caper, un
membre observe que cette mesure est tour au
moins inutile. La question si le conseil avoir le

‘ droit cle disposer de cet objer, ne pouvoit de—

venir l’objet d’une discussxon serieuse; er ce~
pendant , dic Dunoui, le lit de Caper vaut plus
dc mille e'cus', c'es‘t (lonc mille écus que vous
faites perdre a la république. Au—reste , si l’on
clevoir brfiler mus les meubles qui ont scrvi al
Cape: , on en brfileroi: pour plus de ving: mil-
lions.
Le conseil flappé de la jusrcsse cle ces rai~
sons , rapporte ce chef de son au‘éré.
Chaumerre' cle rerour depuis liicr, de son
pays, rend compte cles observations qu’il a Faitcs
clans Son voyage. Le Clépariemcnt de la Nievre,
dlc—il, étoit devenu propremenc une Vendée.
Les administrations y étoient vicieuses, er
avoient corrompu l’esprit public. Le fécléi'alisme
y aunt éeabli son empire; le patrimisme n’osoic
plus s’y laire entendre. On y peignoit la com-
mune de Paris comme sac:il&g;e,_ sce’lérate; qui
vonloit étre roi; de maniéi‘e , aioute Clmumettc ,
que si on n’avoit pas su que j’etois né d’un
saboriei‘, on m’aurou pris, :1 mon arrivée , pour
un membre de mi, ou clu moins on aumit dir
que j’étois dcvenu noble. Les forges , an nombre
de plus (le 16 mille, étOlCilt 'acances. On
voymt clans les cours trés vastcs (le quel~
ques-uncs , l’liei'be croicre e: amoncclrée au lieu
des monceaux dc boulecs qu’on am’oit clfi y
v01r. On y troavoir. aussi iusqu’i mille ouvriers
daus une seule, qui restoient oisifs c: mourans
de faim. ‘
ll alfallu route l’acrivire’ cles repré‘sentans du
peuple pour arrérer les pt‘ogrés cle mus ces maux.
Fouchet , l’un d’eux , je lui dois cetre declaration,
a. i‘égénéré mon pays, er lorsque j’y arrival, 165
IlCllCS qui vinrenrim’entourer, me demandérenc
d’ou Fouchet pouvoit titer tous les assignats qu’il
dismibuoit aux pauvrvesa‘Eh! leuc reponclis—je,
c’est de‘ vos poches! .. .- ~ ' ' ‘
'J’allai a la «forge des canons ,.e
pas une seule matrice. . . . . .

t» je ,nfy tnouval

Lorsque je suis arrivé je me suis joint‘ aux
représentans du peuple; j’ai- sécondé leulrs tra—
vaux, nous avonsirassemblé tous les’ f‘o’rgerons

 

   

1v ,

“11:“

 

"11:;h‘m.‘ ‘
aA-¢smmv._. :-_ .V:

     

'v

pour ‘former 'un club r‘épublicain; ie l’ai preside
le premier. Les représentanstdu peuple on: fan:
mettre en éta; d’arresrarion la plupart des ad-
miniszrateurs de la, Niev‘re-g, ilsgson'tren prison ,.
et j’ai eu l’honneunde les, y conduire‘,moi-meme. g
Ils out ensuite envoy-é de tous les C6'Eé5, .des
courtiers,’ pour la formation d'es directoires dc '
dépnrtement-et de, district. , a . ~ »

Ce pays autrefois étoit despritisé par le ci— t
devamt duc de Nivrenois. Lorsqu’on a su mon ,'
arrivée , et que le tyran étoit dan‘s-nos-prisons,
une phalange de malhcureux esr faccour‘ue pour
me faire ses plaintes. L’un , avec des sab'ots”, S’est
plain: qu’il' lm avoir enleve sa. chaumiéreyl’dutre ,
son pré et ses terres laboumbles. J’en‘ai v‘u nn
venir réclamer 5.1 fille 'tie's'smnorée, et qui avoit
été jettée a la mer iorsqu’elle n’étoit plus bonne
z‘t rien. Le duc de Nivemois, en un mot, a-ac-
cumulé , dans ce pays, tons les genres de‘ crimes
que le despotisme, les passions honteuses et
l’injusrice peuyent vomit sur la wire. 11 faur
qu’ii les expie , ses crimes , puisqu’il est en‘notre
pouvoirl Ses agens sont tou-s' arrétésgi . . .

a._ .ws,<....-w .

J'ai porté plus loin mes recherclies; j’ai de-
mandé les superbes bibliotheques des moines':
nous n’y avons trouvé que des livres de‘ droit et
de théologie. ' " 'i

:ls)

l] dee miracles; eh» bien! Puisqae vous n'eu faires
pas nous voulons en faire. nous. . ‘

l 12:51.1. consequence, let ,dimanche on celebre
l Eéélfifityla yieillesseg- elle y est liabillee et servre
l pir la jeunesse. On la,~_porte en triomphe, er
% les autorités; conStituécs .l’accompagnent.

j -* Un alone-ion: ',‘-c"es't le mallieur quiou honore.
On 'dist'ingue le' malheur qui provxent ‘de ‘la
3 nature; et ce jour meme, on voit autour des
representans du peuple, d-es boiteux, des culls,-
de—jattcs , des ayeugles, des lepreux.Eh! V'Ollei
rde vr-ai's miracles, s’écrie un membre! _
. l - La iseeonde espe’ce- de- mallaeurs qui est honm
’_ rée,-c’e_st ,celui desliommes qui ont éprouvé les
banquero‘utes des ci devanr nobles _,et des pré-é.
tres, de ceux qui ont perdu leur étar a la
revolution, etc. C’esr an): dépens des riches
du‘pa’ys que les représentans du peuple pour-
voyent aux besoins de tous ces malheureux.

'Chaumette dit que l’cxemplc du départemcnt,
‘ de la Niévre d01t étre‘suivi par les Parisiens.

1
l l La‘ Constitution porte expressénieiit que la yieilJ
lesse,‘ l’infimiité, 'l’iufo‘rmhe‘ er ‘le malhéur,

sont sous la protecrion de' la nation. C’est St
, la commune de Paris 5. donner l’impulsron' 5t
' toutesples autres communes de la république.
, Chaumette propose, e: 1e conseil arréte:

 

J’ai fait la découverte' d’un recueil de raj
leaux; ils om: leté deposés 5. un musee formé
pour l'insrr'uc'tion des tépublicains. Je n’ai. pas
epargné mes amis , parceque je dis comme Platon ;
je cheris la liberté et un patrie plus que mes
anus. _ t I
_ On voyoit dans le pays du fanatisme, .sur—
tout des croix et des-vierges ,- par le -soin. des
commi satires-,1 on a guéri le people, en; faisant
substitpegr des: pyramides: cl" la l-iberté, a la place
des signes de superstition.~Seizeprétres s’y son:
mariés dans ,le peu- cle terns que j’y suis ICSté.

' 1°» Quil sets. émbli une correspondance entre

ministrarions soient renouvellées.

foisp, mais £1.65 valets. (

. ~_.?‘_W.M_ ,,——I -

 

Quand les pretres seronr de-bons .citoyens, aioute
Chaumette, nous serous; tous heureuxg-et ces
préttes ontdirseuximénies aux paysans; La véti—
table‘religion ,cpnsiste dams; la. fraret'niré, dams
l’humanite 3e: :idans routes! le ,;v.er;tus;gsociales. .‘ .r

Ils étoient dans l’usage de faire des processi~
ons en--~ l‘honneur (les saints pour lesquels ‘le

tems' de; fairegdes ,rniracles éroit prescxit. Les '

paysans:-;ont; ditai ces- saints“ er aux prétres‘:
yous nous promettez sans cesse que- vous férez

soit fournflstiivafit le‘ur état et’ leur capacité.

 

tement des comités révolutionnaires.

arréte : »

 

l la commune de Paris et les seuls clubs du de-
4 partefnent ‘de la Niev're, jusqu’a ce que les ad-

1°. Qu’il- sei‘a nomme une commission com-
poséev dc: six-membres pour presenter incessam—
ment‘ un travail pour élever un temple '3. l’hu-
inanité, ldnns lcq‘uel seront placés les infirmes,
non pour’y trouver des maitres, Comme autre~

5". Que lafméme commission s’occupera en
niémeefeiiis d’un travail relativement cl um 6:21»
.lissel‘l‘iEl-II‘ pour les personnes valides qui n’an~
r-oicnt pas d’ouv’rage ,-de m’aniere qti’il leur en

'Le conseil’ar‘réte que mardi prochain le conseil
s’assetpblerq. :‘1-5- lieures de televée pour l’épns-

Surle requisitoire de Chaumette, lc conseil

x°. Que l’administration de police sera in-
vx-té'e 5' me laisser'Cmnmmnquer avec aucune perm

Q

     
 

 

- 1mm. Joan-m- L;=-§..P\.

   

..:. «ab-..-'_.‘_ .._._:.. v.” ., A

     
       
           

 

     
     
      
 
       
    
    
   
    
   
    
     
      
    
   
    
     
     
   
    
  
     
     

    
 

  
 
   
  
 
 
  
 
  
  
   
   
   
  
  
 
  
     
  
  
   
   

 
   
  
 
 
  
   
    
 
  
  
 
   
 
   
  
 
    
 
  
 

 

lc prix de l’abonneme

sonne énangére, les prisonniers er :lérenus at-
retes comme suspecrs.

2°. Que dés ce soir, les personnes mises en
état d’artestation chez elles, seront traduites
dans les maisons d’arrét.

Un autre atrété s’upprime la correction du
fouet dans toutes les écoles et ,maisons d’édu-
cation. Tout instituteur qui contreviendta 2‘1 cer
arrété, sera tradmt au tribunal correctionnel, et
poursuivi comme corrupteut de la jeunesse et
des mceurs.

Le nombre des détenus dans les maisons

'd’arrét est de; 2488.

§ L’ex-capuc-iu Chabot vient de se marier.
Houchard, Barthelemi, Kersaint, et beaucoup
d’autres sont arrétés.

CONVENTION NATIONALE
Addition 1} [a seizure d’Izier.

On décrete: 1". A comptcr de ce jour ,
1e bois a brfiler, le chatbon de terre et le chat-
bon de bois ne pourront étre vendus au deli
du prix de 1790, et d'un 2.0e en sus, déduc—
tion faite des anciens droits d’enttée et d’ocrrois.
2°. Les municipalités veillerontzl ce que les
cordes do bois se {assent selon l’usage ordinaire;
clles régleront les Fruis de voiture. 3°. Les
citoycns on: Io droit de corder; mésurer et
peser eux-mémes. Le délit do faux poids et fausse
mesure sera sévérement puni. 4°. Le conseil
exécutif pom‘ra réquérir les fournitures en bois
er charbons néccssaires aux armées; ceux qui

une amende égale a leur valeur. Le present déc‘ret
sera proclamé sous vingt—quatre heures dans
le département de Paris , et sans délai dans
les autres ciépartemens. Le maximum du prix
du sel est fixé :‘t 2. 1'. la livre.

La viande fraiche, la viande salée, le beurre ,
I’huille douce, lo colzat et rabette, le bétail ,
lc poisson salé, 1e vin, l'leau-de-vie, le vinai-
gre , le cidre, la bierre , la clmndelle, l'huile

    

 

 

 

 

 

abrfiler, le sel, (un décret lc fixe i dcux sous

I

la livre pour route l’etendue dc la république.)

0n fouscrit 5 Paris an bureau de to

pour fix mois 9livres

i
n’obéiront pas aux réquisitions seront punis par
la Confiscation des fournitures requises ct par ’

journal boulevard de la
nt de ce papier nonvelle, 12. moms Cher de tous efl
pour rrois mois. et DQUF deux mors en envoyant 611v.

l .

 

1% l

33 la soude, la potasse, les fers, le plomb, l3
5 fonte , le' savon, Ie sucre, le miel, le tabac,
le papier blanc, les cuirs, l’acier, le cuivre,
1e chanvre, le lin~, les laines, les sabots; routes
ltes étoffes dc lai‘n‘e , de fils et de clunvre, les
matiétes premieres qui servent aux fabriques ;

Jusqu’au nu‘is de septembte prochain , les
dent'ées énoncées ci~dessus ne poutront érte ven—
dues dans touts la république all—deli d‘un ma-
ximum composé du ptix respectil‘ de chacune
en 1790 , tel qu’il eSt consmté par les mercu‘
tiales de chaque déparrement, et d’un tiers de
ce PEIX en sus.

Un decret supprime toutes les administrations
de la marine, et l’on etablit dans chaque posre
des comités civ'ils de la marine dans lesquels
les employés seront tlésignés sous la denomi-
nation d’employés aux bureaux civils de- la ma~
tine divisés en chefs , sous-chefs , employés Prim-
cipaux et employés ordinaires.

Se’ance du Sumca’i 28 Septemére.

On' décréte une nouvelle fabrication d5 deux
milliards d’assignats.

Gregoire Charge de la redaction d’un journal
de morale, en donne lecture, or y eSt fort
applaudi.

On re’nvoie an comité do surveillance pour
examiner s’il ne seroit pas utile 51 la republique
de faire une perquisition chez tous les mar-

chands qui se permettent cl’acheter les habits et
les armes des soldats.

Les magistrats de Beaune se plaignent des ar-
restations de Bernard do Saintes , qu’ils traitent
d’atbitmlres.

On décrere la suspension provisoire de toutes
les pensions excédant 3000 . '

Les reptésentans du peuple écrivent d’Arms
qn’ils ont trouvé la correspondence d'Houchard
avec les puissances etrangeres , qu’il est un se-
cond CuStines; aussi assure-t—on que Fe duc
‘d’Yorck ,' en voyant la déroute de son atmée,
a dit : now sommes Ira/21's.

Levasseur et Bentabole écrivent qn'on a formé‘
1e projet de livter Armentieres aux Autrichiens.
I 2. des conspirateurs'sont livtés au tribunal criminel

porte Saint-Martin, i celle Saint~Denis N“. ;
det “lines pour l’annéc. lSllv-

   

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