xt798s4jqc2s https://exploreuk.uky.edu/dips/xt798s4jqc2s/data/mets.xml La Harpe, Jean François de 1739-1803 Bourlet de Vauxcelles, Simon-Jérôme 1733-1802 Fontanes, Louis de 1759-1821 France La Harpe, Jean François de 1739-1803 Bourlet de Vauxcelles, Simon-Jérôme 1733-1802 Fontanes, Louis de 1759-1821 1797-06-25 This bulletin is part of a collection of newspapers and journals published during the French Revolution, collated by unknown person, representing both sides of the revolution. Call Number Rare Books: AP20 .R235 bulletins Rare Books: AP20 .R235 French De l'imprimerie de Crapart  This digital resource may be freely searched and displayed in accordance with U. S. copyright laws French Revolution publications France. Assemblée nationale législative (1791-1792) France -- History -- Revolution, 1789-1799 Le Mémorial, ou Recueil Historique, Politique et Littéraire, (No. 37) 25 June, 1797 text Le Mémorial, ou Recueil Historique, Politique et Littéraire, (No. 37) 25 June, 1797 1797 1797-06-25 2023 true xt798s4jqc2s section xt798s4jqc2s  
  

  
  
  
  
 
    
  
  
   
   
    
   
  
    
  
  
 
   
  
 
  
  
   
  
 
  
   
 
 
  
  
   
     
    
  
  
  
  
  
 
 
   
    
 
   
  
  
  
  
  
 
 
 
  
    
       

émocratiser
u tlt‘llCliltixtt
Lllitircs tics

Acltcvnns
)raulée par
tropliées ,
ecutuus 1an

E de ses ml»—
tl )t' , sur l1
dirt‘ctnirc ,
message tau
sur lcs ("vé-
:sto (it; 13.;-

(lirC-ctoirc
til'; sur la
tvcrucnuéut
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ic lcs Ctttl-

imolard or

rent l’orrlre
i paix ct L1
Sshmiit la
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3 (lircctoire
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l’empéclicr
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lcs princi-
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: directuire
Dunmlartl ;
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torct a tail

'1

3.

“11(3th

, relative-
tablcuu [la
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: (pl’ils out
’il u’cxistc-
. juge cntre
ur (1m vent

 

:9 at 110161

‘. 1m 1w“

 

 

 

 

 

 

LE MEMQRiAL,

RECUEIL HISTORIQUE , POLITIQUE ET LITTERAIRE ,

(Feuille de tous les jours.)

 

 

_,.A,- u ‘ ‘ __~
Scplid 7 messidor, a]; V. (N0
Dimanc 35 juin 1797 (u. .91.)

 

W‘

ITALII-L.

Venise , le 7 "juin. ( 19 prairial ) Dimnnclic dcrnier, la
céréinouie do in pinutatinn (la l‘urln‘e dc lillil)01‘lé a eu lieu
avoc lwachup (l7.1pp;tt‘(zil. Toutcs lcs urenucs de la place
Saint arc émicnt nrcnpécs par dcs tmupes frangaises ct:
vénitiennes , ayant plusiuurs pic‘cvs t‘r) canon. A ncut licures
(lu maLin , la municipalité so rcntlit sur ccttc place. LU
présitleut uyzlut pronoucé un (li‘iCJlll‘S nu peuplc 7 on $6»
remlit a i’églisc Saint-Erlai'c , ()u lc Tc Damn Int. clianté.
la place ; et le prési-
{L in suite Lllupml on
nmns Llcs

 

Eusuitc lit. xuunicipalité rctouruu sur
dent pronunca d1: nuuvoau un (liscuurs .,
nu étnirrut inscrits lcs
’uutinrité (lu (lug-‘0.
lns niunicipaux

jettu an liau lu [iv/‘15 J‘ur ,
Patricicus , Ainsi quc tons leg attributr; (lc l
Cos otijets uyant (Eté détruits par la tlaunue , .
se rassciuiuercnt autnur (lo l’arbre (16 la lilirrté 7 «lu’ils all'cr—
mirent snr lc sol , avcc de la t'crrc ct (lc l’Cau. lie bruit (111
Canon , le son (lCS clnclics ((pli existent nucure) , uue mu-
sique bruyaute , cm’sculnut dcs airs patriotipics , accompa-
gnércnt et suiviran cctte céréiumiic. Le snir , la place
Saint—Marc l'ut illuniinéc ; CC (pii cut lieu lcs (lCIlX jours
suivaus. Il u’y eut (pi’uu trés—petit noiulire (lilialntaus (in
assislcrcut‘, i1 ccltc suleinnité : on n"y rcmarqua aucune dé-
mvmstmtinn diallt'tgressc. Eu générul , le pcuple :v'rfniticn
pzzroit rcgrcttcr l’ancien gmivzu‘nvmr‘nt la munimpulité
méme SCIIlhle peu silisfaite do son existence actuallc ; ct; on
cruit tpi’clle scra clung/w: en granzlc partie 5). l’arrivée du
gfinéral Bonaparte , (pic l’nn (lit trés-prurliaino.
Les rcligieux qui occupant lcs ilcs Saint—Georges , Saint-
’iiclicl er Saint-Second , nut r6911 Ordrc rle lcs évacuer sous
trois jours , pour f'aire place aux troupes francaises qui doi-
vent y étre logées.
Parloue , Trcvise , Vicencc , Bresciu , Crcma , Ber-
game , etc. , ne pamisscnt‘, pas tlispnsécs {L former unc
union avec nous: on crnit' (pic 10. surt (l0 cette partie dc
liltalie dépcnd d’arrangcmcns secrcts cntrc la France or
l’Autriclic.
ll a élé envoyé (lcs tlt"l)11tt:‘s (laus nus ilcs (lu LCVant , a
qua (inns l’Istric Ct dans la Dalinutic, pour y ctablir lc
régixne déinocratirpw.

A. U T R I C it E.

insi

f’icnac , [a 10 juin ( 22 prLIiri/zl. ) D’aprcs lcs rapports
:rlic , nos tmupvs sout Cn—

 

lcs plus réccns dc imtrc arunic (l’i

trues sur le t'crritoirc. Viiniliun, ct liIS arnies iinpérialcs y out

tic-ii étt': urlmrécs daus qtlt‘ltltt‘x‘s Tillcs.

L’aiulxlssmlcur do la l’orte ()ttmuauc, (pli (luit résidcr ici,

“An MM. DE LA HARPE, DE VAUXCELLES FT FONTANFS.

 

Vis consili cxpers mole ruit 5115 ;
Vim temperatam di quorpze provclnint

‘37«)

In umjus:

 

 

Le prince chnin est attendu ici de la part (la la Russie ;
nu prétcnd (pie lc principal objet de sa mission est (la prPndre
avec notre cour des arrangemens rclativement 51 la Polngnv.
A l’égard de ce mallieureux pays , eti‘acé en quelrple snrte
(la la carte pnlitirlue (le l7Eumpe, (les m'is niliciels (le la Cul—
licie nous apprennent qu’il s’rrst rassmnblé (laus la IVInltlax-ie
ct, la Valacliie nn corps (1c Polonais, (lont 19 but seroit d’opc-
rnr une nonvelle révolution (inns lcur patrie, Ct d’y (:Ia—
l)lir un gnuverucmcnt scniblalile £1 celui (le la France : ils
clmrclient par lcurs éinissaircs, ct au moyen dc la circulation
dc curtains écrits, 21 nruttre duns leurs intéréts lcs lialJitnns ct;
sur—tout la noblcss 1; nn grand nmnbre de ces Polonais smut.
2‘1 choval : la plupzu't pnrtént un habit blen, vostc ct culotte
rouge ct uu plumet tricolor EL lcur clmpeau. Nalgré in p'
signéc entrc l’Auix-iche et la France , ils se flattcnt de l’assxs-
Lance de leur mmputriotc , le général Donibrowski, (1111 Come
mantle en Italic uue lésion poionaise, formée sons lcs auspices-
dc Bonaparte.
ll en ("st (pii pcnsont‘ que l‘empm‘cur dc Russia, voynnt all
regrt‘t l’am’milisscnicut (la la Pologuc et la spolizttiun du roi
Stanislas—Augusto, aurpml il parte uue al’li‘ctinn purticulifizm,
desireroit rcvcnir sur lc (lcrnicr partage : notre cour sc pru-
ternit dlautunt plus volontiers aux vncs Ile la Russia, rpm co
dol’nir‘r partugc , en agramlissnnt énm'uuinirnt la puissanm
prussienne , n’a pas augments? it proportion (Tclln (i0 l’Au-
triclie. Telles sour lcs itléns dont nn slentrcticnt; inais (.lu
nioins Cst—il certain (pm 103 dcux cmlrs iinpériales out ropris
leur intiinité précédcnte.
On a rcgu ici des rappm‘ts antlientiqucs sur les mallicurs
qu’a épmuvés la ville (le Slnyrne dans le Courant do inrirs
dernicr. On sait que l’inccmlie er le pillage de cette liclic
ville , (at lc massacre (les Francs , avnicnt répandu la fravcur
parmi tous les étrangcrs. LC consul frangnis, Launmnil, a.
pris [mites lcs praicautions pour priivcnir dc nouvcaux inal—
lmurs. La cocarde francaisc (1.311“: (Eté respectéc au inilicu
(lu (lésnrtlre, re czmsul cu a fait (listrilmcr aux étrangcrs.
Des Russcs, (los Anglais, (lt‘S (“n-«(:5 pm‘tcnt aujmml’lmi
cctte wand/c, qui tltEVit‘Itl' lc pct/influx” do ceux (pii out
encore it rutlnntcr tpuzlva Mr. (1;: la part: (105 Tux-cs.
0n ponrsuit twijours; aver artnité lcs préparalils at dispo—
sitions milituiros; janiztis peuti—Gtre la situation dos aliilh ,-
ne fut plus rinigmntiqus qu’clle nc. llcst' (lepuis (leux ltt- -,. ,
ni lV-tat th‘S pmxplcs plus flol'tant entre la. paix ct la guerrv ,
sans avnir ui l’uue ni l'autrc; 'azuais ausui los négociatinns
no lurent plus liypntlritiques , ni lcs stipulations réciproqucs
plus alt:iclu':t‘s :1 (lo lizturs rtnutingous ct A (les concessions

 

 

 

 

 

est arrivé, lc 9.7 nui, 51 licrmnnstudt.

évcntuclics. Cctte {argon dc négocicr permit dlrc 10. chf' do

 

 toutes ce's incertitndes qui ont snivi le tmité de pnix signé
A Bide entre la. France et in Prusse, et prolmblement ellc
l’est encore (in secret qu’on continue de gnrtler sur les urtieles
Préliminnires de Imix signés entre l’Antriclie et le gouver—
nenient irangnis; des délntll'CilCS umbignes et tortuenses (111i
ont suivi leur signature 5 de l’étnt armé on Port continue de
Se tcnir, th. ‘ '
A N G L E T E R R E.

Londres , le 20 juin ( 2 mexsz’dor ). Ii vient de paroittre
une Proclamation, Par incluelle il est Perniis 3i tout vaissenn
tie remonter et descendre la. Tmnise , comme anpnmvant ,
vn que l’insnrrection de la flotte dn Nore est tinie ; cepen-
dunt nous desirerions ponvoir annoncer qne l’lmrmonie et la.

discipline sont entierenient rétablies snr les v.tisseaux. Les.

diverses relations , qnoique contradictoires Pour [c rate,
s’dccordent snr un seul point qui est le plus important,
snvoir, qu’z‘t bord de plnsieurs vaisseaux, il regne toujours
'nn esprit de fermentation et de trouble , (Pie les ei'i'ors des
iiieiers n’ont 1‘11 totalenient nnézuitir.

Il est enfin décidé one les revoltés de in flo‘rte , seront
jug/rs par une Cour inzu‘tiule. Le prunes de Parker doit com-
mencer domain. Il y a on ontre 121 individns dent on fern
lo proces, comme chefs de in révolte. Le pardon du roi it
éte envoyé ii presque tons les vuissenux du Nor-e : les chefs
de la sc-tlition sent tonteteis exceptes de cette grace.

Liétzit des ai'lhires d’Irlande est plus sérieux (iti’on vne
Itense generals-merit. Les mesures rigonreuses qn’a prises 1e
gonvnrnement , contiennent pour le moment ies mécontens 5

mitis le commerce , i’industrie , l’administmtion civile , etc. , ;
taut y est en souii‘rance. Le Pnrti des Irlnndais—unis est,
ri'rzlnit it ‘l’extrémité ; l’opinion a dégénéré en unimosxté 5 et.

ii pent en résulter une explosion dangereuse.

Uri courier nous 21 apporté in. nouveile que toutes ies pro-
prie’tés des Anglais ‘21 Venise avoient été snisies par les Fran—
gnis, (lui s’étoient pareillement emparés, thus in bitnqne,
(liune soinine ties-considerable appurtenant [L S. 1“. Nos pa-
Pit‘J‘S ministériels observent, '21 cette occasion, qne notre
Jnonztrqne est trop putriote pour nvoir Place des funds {‘1
Venise , de préi‘érence it. son propre pays.

On apprend, de Plimoutli, (lue 1:1 flotte du lord Bridport
a mis 21 in voile vers l’onest pour inire une croisiere et re-

Prendre Probablemcnt sa. premiere station 21 in liantenr de‘

Brest.

Une lettre de Bnntry, en Irlande, nous marque (lti’on y
:1 pris (305 mesures pour étre it l’ttln‘i d’nne inversion. On y a
construit quatre batteries, in Premiere de dix pieces de

canon , 'ln seconde tle neui', in troisieme vde donze, et la-

quntriéme do quatre. Vingt—sept de ces Pieces sent (16 ringi—
gunfire livres et le rests de (lonze. Chacnne de ees butteries
est pourvne dC,gl‘ilS.l)Ottr inire rougirrdes boulets.

B E L G I Q U E.

Brurch’cs, [2 4 messia’or ( 19. juin.) 11 no cesse d’nrriver
continuellement (inns cette ville et aux environs, des troupes
vouunt des bords du J’tliin ; nous en uttendons encore. Solon
quelrlnes—uns, une partie (le ces troupes doit se rendre 2‘1
Lille pour y renlorcer ln gnrnison, durant le toms des (zon-
ikirences qui doivent s’y tenir entre ies négocinteurs fram—
enis et unglais; selon d‘nntres, ces troupes, se dirigennt
vers 1.1 ci-demntFlanilre maritime, seroientvdestinees 5t s’ein-
burquer a‘t Dunkesqne , pour allerse réunir 9t L’l flotte liollztn-
dnise (lu Texel, clans la wue (row-ei- conjointenient une
«Apéditinn sur les «Mes d’i‘tugleterre.

La .Viiiu d’Anvers Vienz d’eti'e ie tit-Laure ,d’nne scene qni

(2C

 

a prodnit du désordre 0t une agitation dont lcs suites pour-
roient étre funestes. Un cure, non soninis :3. in declaration
exigée pair in loi, portunt processionnellement le ViillitlltC‘
it nn inulnde, nttirn sur son passage une fonle immense
d’habitans , npplundissant (‘1 cut :tcte Jliu‘ des eris de joie.
La municipalité iiuluiete de Ct: mouveinent, se rendit, escor-
tée de gens d’nrmes , an lieu du rassemldeinent , et Intrvint
ft percer in ionic, Pour se Porter '21 l’éSlise on etoit nttendn
le In‘C’iI‘e (lni fut inis en nrrestation. Celte inesnre de rigueur
exusltém ies esprits déjn éclutniltis. Le lumulte s’ensuirit , ct
nu depart du courier qui nous it apporté eette nonvelie, on
craignoit qn’on n’en \‘int '21. des \‘niCS dc {nit et it (iet
extréxnite’s , qui Pussent uvoir des résultats ft‘tclienx.
Wm

Ultimatum sur [63 01001165.

On m’nssnre (lue quelques joni'nnlistes se smut étonnés (Jne
j’aie dit des cloclies (iti’elles liiisoient nne purlie integral/rte
dn culte : c’est (in’nmtnreininent ils n’ont pas bien entendn
le sons (in mot, pantie intfgrante. Ilne signitie pas une partie
sans laquelle le eulte ne subsiste pas , mais sans lmiuelle i1
n’est pas entier, il n’est pas dams toute sun intégrité, et rien
n’esl: plus vrai. Suns doute, ils out cru nussi one 103 cloclies
n’étoient destinées (Inn). nnmluer les henres des offices or
appeller ies fideles it l’église. Ils se tromltent. Dans id liturgie
citrétienne, il y a. une sonnerie religiense (lni entre (inns in
celebration de toutes les grnndes solemnites, dont l’objet est
de ritmxeller lcs mysleres de notre relision. Le son (les
cloehes, pendant un terns innrtlné, exyrime aims in joie de
l‘église et correspond it ses cérémonies. Ii ex irime de meme
son deuil {i la. mort d’un de ses enfnns, avertit les antres de
prier pour lui , et se Inéle an chant des funerailles et 21 1’41:—

«illell lut”11i)le de la SC )Uil llle. 146$ LlOCIltfs Stilln‘tllt Pellddllt
v ) C SS 01 5, en 1 , C S [I (In C 35 t\ (‘3
1‘35 H) e 1 1 il l 11 St 1 \l 1 ii" 9 )1] 11118 (A

voix de in. religion , et one lenr son on leur silence sont un de
ses symboles, qn’un jeudi saint, lqrsque I’église s’unit an):
sonilrnnces de son eliei' divin, de Jesus—Christ, toutes les
cloclies se trtisent‘ dans tonte la chrétienté , en signe de denil,
et ne recommencent A sonner qn’an moment on l’on elmnte

Plumber du saunedi saint , qni annonee in résnrrection du

sanveur. 0n suit d’nillenrs que la lJeiiédiction des cloches
est une des cérémonies dn ritnel, comnie celle de l’encens -,
du Pain, etc.; en un mot, ce qtli sert sitéeialement it nmni-
fester l’ullégresse on l’afiliction de l’égl ;e , concurromznent
area 105 exercices (in suite , est, it coup st‘tr, partie inrégrarzle
de ce inérne culte. 3c sztis‘qn’on rent '21 toute forre s’en
passer : in religion 50 pussoit bien de temples, quand elle
étoit releguée dams des cavernes, et ponrtnnt les temples
sent necessuires nu culte. Ninis ce qu’ii imtitorte d’ol)ser\'er ,
ce qu’observern l’itistoirc comme un pininomene unique, o’est
que l’inii‘une canniile "Evolution/mire nit osé interdire 1‘1 mute
in France l’usnge (ie 585 cloelies, que mm (10 millions de
ehrétiens aient vu tranquillement un taunts de bandits des—
cendre par-tout ces monuments élevés par la piété depuis tant
tie siecles : c’étoit, d’nn cote, l’exees de l’insolence dams la
tyrannie , et, de i’tultre, l’exces de l’zil)je(:tion dnns la servi-
tude, et en eels, eomme en tout lc reste, il y a eu justice.
On a dit encore (our (time ne dit pas l'iguornnce ?) on rt dit:
dztns le ()onseil , et tout :‘t l’lieure, (lue si l’on rendoit l’usnge
des cloclies aux catlmliques, il inudroit nnssi les rendre in.
routes [es mates religicusw. L’ignorsze pnrle toujours de la
France , cormne si toutes les seat—av dn monde y étoient
rénnics. ll lit'ut apprcndre 3t l’ignorance (lu’il n’y :1 en France
Lilli: Cit'lu c.tti.n,)iixlues, des yrotestzms et des juiis, Cl. quc let

 

    
   
  
  
  
  
  
  
 
 
   
    
  
   
  
  
  
  
 
  
  
    
    
 
   
 
   
    
    
   
 
   
  
   
    
  
   
  
 
 
   
   
   
  
   
  
  
  
    

  

les pour-
Claiutiun
Ivialiq'ue
immense
do joie,
t, escor-
t pzu'vint
uticndu
‘ rigueur
Jn'it , (31:
clle , on
L 51 do;

ne's (pie
migrants
anicndu
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uelle il
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Hoes ct
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'4

 

 
 
 
 
 
    
 
  
  

‘( 3
i mtestans Ct les juilb ne connoissent pas l’usnge (les cloches.
.ill’n’y a point iCi de concurrence it (:raundre, non plus one
ies exterieures, telles que les processions
éjmiilitluos (pi’on a. jugé £1 propos (l’i‘nterdire Isous le meme
ant-texts, quoiqu’elles soient particulieres 'au culte Ades
tallioliques. A l’instant on j’e’cris, les solcninités de la Fete-
Dicu soul célébre’es dans toute l’église , liars dams la France
.kflwenuclibrc 1.... et en cela, conimc'dzuis tout le reste,
1311 V a encore justice, inais il y aura justice pour tout le
'vifmonde. . .
5 Sons doute 16 war culte est dans le coeur, (lu moms 1e
Ii‘culte du cllretien ; car Si). religion est la seule qui parle au
'coeur, et son Dieu est le senl (pii vcuille étre aimé :Ic’est
mur la raison une dus preuvcs de la divinité du 011118111:
finiszue. Elais n’cst-il pas plaisant (pi’un pbilorupbe (1) (p11
sine le connoit pas, ait prétendu nutoriser en (pielque sorte
91.131 destruction (les autels et la clOlure des temples, par les
)uroles meme dc l’l’Lvangile ; qu’il nous ait cité Jésus Christ,
.‘disant aux Juil's : K Le terns est proclie , ou l’on n’adorera
V I?» plus it Jerusalem ni £1 Gurizim , mais o‘u Dieu aura. par-
...» tout des adorateurs en esprit et en vérité? >2 Ainsr, de
ce que l’adoraLion du cocur est vraiment celle -de la nou-

velle loi , de la loi do grace, il s’ensuit (pie Dieu ne sera

pas adoré dans des temples , et que le nouveausacrifice

n’aura point d’autelsl Je ne conseille pas aux plulosopliu
_. de citer l’Evangile; ils ne sont pas lb. sur leur terrein. Je
[I répondrai it celui-ci, cc que l’ai re’pondu it Diderot, qu’il

n’a l'ait (pie répéter. C’cst Diderot (lui a dit , dans ses
Pensées pbilosnp/zigues : (< Les homines ont banni la Divi—
nité d’entre eux; ils l’ont reléguée dams un sanctuaire :

1‘ nus les CérémOn

  
  

1)
,>) les murs d’un temple bar/zen: sa vue; elle n’eriste paint
1‘ >n au-deld. Insensés que vous étes 1 de’truiseg ca: enceinte:

>2 qui rétrécissent vos idées : e’largissq Dieu. a)
. Voici ce que j’ai répondu ( au Lycéc ) au p/u'losopbe des-
v ’ amateur : »
' « Il étoit digne de notre siécle de trouver sublime ce
mot: Elargisseg Dieu. Combien (is his l’ai-je entendu citer
"-1 avec admiration 1 C’étoit—lit ce qu’on appelloit ale la force:
cette force prétendue (ce n’est pas d’aujourd’hui que je le
dis) n’est qu’une folle déclamation. Insensé, toi-méme,
'. toi qui ta dis plzilowplic, réponds. Oii as—tu vfi un peuple,
' un homme assez béte pour croire que le temple boruftt la
1. divinilé qui l’liabite? A (lui on as-tu? Qui jamais a pi‘i
ignorer, hors toi , que le temple est pour l’homme et non
_ pas pour Dieu? On l’a dit par—tout: pourquoi feius—tu de
_’oublier? Oii prends-tu (pie pourceux qui ont des temples ,
Dieu n’existe point au-dela‘? Ne. t’es-tu janlais trouvé dans
nos campagncs , 21 ces cérémonies si toucliantes dans leur
agreste simplicité, (z) quand lcs lialiitans (les villages et
des liameaux, précédés du ministre (les autels , marclioient
£1 travers les plaines cultivées par leurs mains , élevant avec
lui leurs chants religieux jusqu’an Ciel , vers le Dieu (lui
:1 hit la. terre et qui lui donne la fécondité‘? Tu as prl voir
tous les ans ce beau spectacle , beau , non pas seulement
pour un Clii‘étien, mais pour tout Tl‘fli pliilosoplie , pour
quiconque aune ame 5 mais les Charlatans et les sopliistes
n’cn out pas. Il est vrai (pie tu me lo verrois plus aujour-
d’liui Get attondrissant appareil , ce commerce sublime
do liL nalure :I.V(‘.C son auteur, et (Poul-ans (lui demamlent
la nourriture a leur pure. Aujourtl’liui , s’ils osoient l’in-
voquer ainsi an milieu de leurs moissons, des nieurtriers

 

 

 

(1) Ni. Carat, Clef dc: cabinets.

)

stipendiaires feroient pleuvoir sur eux le for et la mort , an
nom ales [01's de la i'épublique. (l’est aujourtl’liui (pr’il n’es:
plus permis d’adorer Dieu, it in face du soluil ; c’est aujour-
d’hui que Pen :1, on diet, aulant (111,011 l’a pi‘i, mnprisouné

'Dieu dans le sanctuaire. Maris .1 (pii l'aut—il s’en preinire 7

si ce n’cst it toi et it tes pareils? Ne sont—oc pas tes propres
Paroles , élargisscg Dicu , (pic répétoient ceux qui l'crmoient
les égliscs apres les aroir dépouillées? Nous l’zn'ons entendu :
C’étoit—lb le cri (pi’on avoit appris a l’ignorance , pour auto-
riser la rage ; et ce cri n’est—il pas celui de la philosophic?
L’oseras—tu nier? et lorsqu’aujourd’bui Dieu ct scs adorn-
teurs sont légalcnient re'légués, confines, caches dens Pen-
ceinte (les temples, ce ménie cri qui, dans la. boucbe, n’étoit
qu’un extravagant blasphéme , ce meme cri , dans un autre
sens et :51 ton grand étonuernent, ne pourroit-il pas titre celui
de la. raisonj de la liberlé, de la. religion, qui out bieu le
droit de dire : Elargissez Dieul L. H.

P. S. 11 me s’agit plus de cloches , mais de grammaire.
Un abonné du Journal de Paris veut justifier la phrase de
M. Rmderer sur lc bruit public des cloches. Il emploie deux
colonnes 51 prouver ce qui ne l'ait rien a la question. J’espere
étre‘un peu plus court; car j’irai droit A la question , (lui ne
devroit pas en étre une.

1°. C’est me supposer un peu plus ignorant que je ne
suis, (pie de m’apprendre , en deux colonnes , que le mot
public a deux acceptions , dont l’une signifie ce gui appar-
tient :21 la abuse publique. On' pouvoit se dispenser (les cit-.1-
tions et se passer des dictionnaires. Concedo totum.

2°. Il ne falloit pas dire qu’il est probable que beaucoup
d’autre: que moi sont dams l’erreur sur la mot public , que
j’lai beaucoup trap restraint , it nioins dc prourer cette erreur
trop grossiére , pour qu’il snit permis de l’imputer 51 quel-
qu’un qui sait un peu le frangais. Il faut que la manic do
régenter soit inhérente a co journal. (J’cn excepte la ré-
daclion des séances , (lui est supe’rieurement faite, et 5.
laquelle M. Hoederer n’a jumais touche’. )

3°. Un homme qui sauroit on eliet 1e frungais, s’appercei'roit
au premier coup—d’ueil (pie l’expression dont on s’est univer-
sellement moqué , est en clle—niéme ubsurde et ridicule; (pie
in question n’est pas de suvoir si le mot public est pris ici.
dans le sens que lui donne l’dbnrzne', et (1118 je crois bien étre
celui de l’auteur; mais si jainais un bruit public a signifié ou
peut signifier un bruit gui appartiem d l’uuturité publique,‘
s’il y a jamais eu, dans cette acceplion , ou s’il pent jainuis
y avoir un bruit public et un bruit privé. 0r, comma to
'seul exposé feroit éelater do rire , et conune ce niéme exposé
est pourtant celui de in question , l’abzmné s’est bien donué
de garde d’en dire un seul mot; il lui étoit plus facile
d’employer une.page i3. m’expliquer ce que personne n’ignore.

4°. Si j’ai oppose [e bruit secret dc: clocbes au bruit publ.'c
des aloe/les, c’est qu’il ne s’ugit pas , en fail de diction, (1e
ce qu’un auteur a voulu dire , muis de ce qu’il a dit , et qua
cettc phrase, remplz'r l’uz'r d’un bruit public, étant evidem-
ment du style niais, il éloit permis d’en laire sentir la
niaiserie .: cc n’est pas ma finite, si M. limderer n’a pas su
élztblir le moindre rapport entre son expression ct sa Tense-e.

5°. Si l'ubonne‘ s’est trompé (le bonne loi sur l’état (lo la.
question , il cmnprentlra qu’il ne lui reste point do réplirpu'.
S’il ne \‘GUL (pie pcrdrc (l11.lCIIlS c-t (lu pupier, il essavera
de pronver comment un bruit public pent signifier la Viiix ,
ljorgane, l’expression (lo l’autorité publique; et l.t lan:,;ue
frangaise ii’est pas encore , (:0 me soluble, rénoluiioiiuée

 

(2) La l‘ele des Rognliuus.

jusipies~lu. p L. ll.

 

    
   
    
 
  
   
    
     
   
 
  
   
    
  
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
   
 
  
 
  
  
   
  
 
   
 
 
  
 
 
 
 
    
    
 
   
 

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Sc’zznce d1: 6 messidur.
i111 loi du 3 brunmire (wait condamné 1‘1 111 1‘1':1:lusio11 les
ecclesiastiqnes1111i onl: refuse de préter le sermeut de lidélit’é
:1 la liberté, 1‘1 l’ti‘gnlité. L’l loi (in 1/1 l‘rimuire n. depuis
ordonné leur élmgissement. Le directoire, clmrgé par un
message, (in rendre compte de l’exétmtion de cette dernir‘kre
loi 7 trnnsmct en réponse 1111 rapport; du ministre de lil police.
11 +111 111511119 que, de l’nveu 111151116 de Coclnm , la loi bien-
litisante 1111 111 l'rininire n’a pas regu par-tout son exécution.
Pour justifier les administrations déprtrtementales (111i SC
5011:: pen pressées d’olxéir, Ctoclnm allégue [tab-scum}? de la
disposition i111pérattve. L‘élnrgssernent fdevmt—il‘avmr lieu
pour les prt‘:tr(‘-s reclus (Hunt 111 lol du .1) brunlaire, on 118
1 avoit—il 1‘:tre applique (111711 ceux dont la réclusxon fut l’ellet
de Cutie loi meme?

Dans le doute , quelques administrations ont cru d‘evoir
cltoisir le pnrt‘i le plus doux ; elles out 111is en‘liberté tous les
CCCl:"Si:tStitltt(tS reclns illdistinctement; 1111115 le’ n1111151re
Coelmn, (pmiqne souvont consulté s11r l’n1t'erp1't:tn,tio11 de
la loi, 11'11 pits osé, (lit—ii, s’expllquer sur 11:1 pomtlsx
important , ct dour la décision appartlent, aloute—t-il,
:111 corps 1125415111111”.

E11 attundunt Cette
toujours (ioclmn 1111i

decision, les prétres deportés (dest
parle ) reutrent de tontes parts, or
cormmpent l"11pi11i~.111 publiqne. ( en vertu de lnrpzlelle ils
furent ileportés )... . L0 1n1111ntre ternune e11 mutant le
conseil 1‘1 statner s11r leur sort , (inns le plus bret délni.

Un membre (du nonvenu tiers ) atteste que les prisons dc
'litnuleanx sont encore c111:oxnbr1':es d’eeclésinstirples octogé—
11:1i1'es r't infirnu‘s. ll 1'1'2cl21nie 111 punition (le (tenx (111i, .111
mflpris do, In lui dont l’obscurité 11’existe que pour ceux qui
{hrment les yeux , retiennent dons les lers des citoycns fran-
gais, ([11’1111 acte legislatil' a. rendus 1‘1 121 lIl)9rt-é. .

8111' [:1 proposition (in Jordan, le .Cnllsfnl ordonnc 1’11“-
pression 1111 message , et niourne 2‘1 prnnidx procnzun in dis—
1511541111 (in projet’ relatil' 1111 culte outllolnlue: . '

()rgnne de in commission dos (iii-pumps, hingnmr-i‘dadtger
{nit mitttre 100,000 livres 1‘1 11 11151103111011 des conunlssmres
do 131 mmptnhilité , pour 16: service de lenr administration,
Pendant le dernier trinwstro de l’ztn ‘3’.

Qua/gm: {win-0:83 de Silt'lftl', departement do in, Dor—
tloqne , out 1'4':1:l:1111é contre les opértltmns de l’nssen1l)lee pri-
nuiirc do 1:11,th commune , 11111 11711 point voulu d’eux pour ses
111:12ist1'11ts. (it‘s opérzttions, disent les réclzunnns, sout évi—
deziiznent l1: tent'dm'ux ouvmge du royalisme, et partant e les
sout' ntllli‘s el de Mute nullitt'r. Lu commission, clmrgé
diexmniner cette petition, :1 Cherclté \‘11.i110111e11t les Ipiér
jnntifitutiu‘s, sur llESqtl’jllt‘s‘ on nurnit’dt‘t l’nppujiwrz'L-Jl 1'15-
suite, 1,11i pis est, pou'r [espatrlotfs ret‘/.»:.,,rrzzzrz.r'7 1i. resulte ,
dis—in , dvs 111‘1)1:=‘-~,—‘;e1‘n;‘.11x de l'nssemldee prinmn'e etde
toutes les nutm'irt'w; constituées, sous la surveillance des—
mmlles GHQ 21 tonstnmment opéré, 1°. (lulil y :1 e11 dag
l‘l'tfilllill‘s duus l‘nrmmnhlée ;

2". Que, ins pétitiolurziros on out: t'tté le.

0.

  

nuteurs ;

" 1 7
"‘1" (711v inn tl’eux 11 leré 1111 conteau s11r lat, gorge dun
' ' \ 1

('itoVen pnisihle.

   

4 3
e11 cc moment traduits pour leurs excés dov
d’neeusrttion.

D’uprés ces considémtinns, Del
pose de passer 1‘1 l‘nrdre du 'onr

Personno 110 57(3l‘we pour
vntion de Cnrdonnel i
eonseil 7

ant 1111 jut-1

nintye, rapporteur,
s11r tzes rérlnnmtions.
cs {hire \‘nloir 5 1111131; stir l’oljgoy.
, appuyée. pnr Philippe Delville, 1.3
Considérant qu’il no pent, sans le
anciens , prononcer 3111' J11 vrtlidité drs opera
l)lées pri1n.1ires, et‘ qu’uu orn’e 111; form 11’e
renvoyée 1‘1 l11 commission pour prése
lution fornit‘lle.

Pit).

concours (it"s
tions ties assent-
st point nne loi,
nter 1111 projet do its”-

Vase, 1111 nom d’une emnmission sprininle , invoque L1
justit‘e du conseil en litveur de Just-pit Bourbon—Conn, (At
Lie Louise-Blade—Ad15lz1'1'1le de Pentltii-vre , VUIIVC (llot‘léztns,
E11 Yertu d’un nrrC-t‘é du comité do sureté générale, le
sequestre est s11r leurs biens; et l’inu‘ ,nce est leur par.
rage. Mnis 1‘1 quel titre luisse—t—on
puids du 11111ll1eur?

Est~ce 1‘1 titre de Condamnés '3 nmis le despotisme decent-
viral lui—mr‘eme n’n p11 trouver contre 011x 1111 prt‘tOxtC ditc-
cusation. A titre d’én1igr1"s?znmis ils 11’011t’ jamnis quitté la
France. A titre de (léportt‘s? muis le. décret
naire qui ordomm lenr deportation , par meszzre de siz'rve’
géne’mle , n’a jamais été 111is 1‘1 execution; unis cc décnt
lui-meme 11 été rapporté.

1'é1'11lution-

115 no sont plus ces tt’nlS on 111 naissanco étoit‘ 1111 Crime.
Quclque soil; le sang 1111i coule dnns leurs veines , ils sont
li‘angnis , et tous les Citoyens soul: 155.1113; aux yenx de 11
loi. Slils sont coupnbles, on sont leurs accusateurs ? Siiln
sont innocens , pourqnoi les opprimer?

Sur la proposition (in rapporteur , le conseil leve le se-
questre npposé s11r leurs biens, et les réintégre (111115 111 jonis-
sauce de leurs propriétés. ,
Villers demande, par motion d’ordre, quzmd sera fait le
rapport reintif r111 millz'ard promis 111131 (lérenseurs‘ de i:1 patrie.
Doulcet observe que in commission chargée de cet objet , 11
perdu deux de ses 111e1nl)res cxclus par 16 sort. Le bureau
est invité 1‘1. presenter les dcux membres qui doivent les rem‘
placer.

O11 reproduit 1‘1 in. discussion le projet: teudant 1‘1 00 (1118
les ltéres et: meres pnissent, substituer dé nouvenux pre'noms
1‘1 ceux (It: Murat, (llrr‘tlier , Robespierre , etc. , imposes par
les eomites “ivolutionnatires , 1‘1 it]. plupnrt des enl‘uns nés sous
le regne do in terrcur.

Delmnnieres et Vauvilliers conviennent que (tes premonis
ressemblent 2‘1 11116 flétrissure ; Innis ils m‘nignent que l’ndop—
tion (in projet ne produise 11ne contusion irreparable dans
les registros qni servant: 1‘1. constnter l7