xt7d513txk9h https://exploreuk.uky.edu/dips/xt7d513txk9h/data/mets.xml  France  1793-03-04 This bulletin is part of a collection of newspapers and journals published during the French Revolution, collated by unknown person, representing both sides of the revolution. Call Number Rare Books: AP20 .R235 bulletins Rare Books: AP20 .R235 French   This digital resource may be freely searched and displayed in accordance with U. S. copyright laws French Revolution publications France. Assemblée nationale législative (1791-1792) France -- History -- Revolution, 1789-1799 Vedette; ou, Gazette Du Jour, 4 March 1793 text Vedette; ou, Gazette Du Jour, 4 March 1793 1793 1793-03-04 2023 true xt7d513txk9h section xt7d513txk9h A
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GAZEETE DU FOUR.

FRANCOIS, dc grands événemens (e préparents )8 “115 en V549”: 3
3B6 je vois) tout cc que fencends , lur le c

taut ca
hamp , )6 vous en inflruis; ce cm: was

/ ~ - ‘ ‘ ' ' 5“ ‘ oure.
ecomvmrez , ce quc vous apprendrez , faxes—ls mox favoxr , ye le publie qu l c

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Du lundi 4. 1113131793.

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NOUVELLES ETRANGERES.

De C’ivitra- Veccr’zia , c: i lfc”:‘.".;c.'. U11 courrier
cfpagnol , délmrqué hie: dams norre port , 8: 'C" L
2. midi-t5: cominué fa route pour Rome , :1 m:—
noncé ici quer S. M. catholique avoic déclaré , 1(a
1 de ce mois , la guerre :‘1 la France, 8: ordonné
de fllfil' tous les vaifrci11x frangais qui {e trou—
vcroient clans les ports cl’Efpagne. Ce courrier de-
voic autii fe rendre i Naples. 1

Le peuple de Naples s’ct‘c porté en corps , lc :6
janvier demier , ayant {es magiflrats :l. fa téte, ~le-
van: le r’oi dcs Dcux-Siciles. Il npréfcntéfigenoix,
:1 cc monarque, une requére for: énergique , dzns
Inquelle il flipplioir S. M. de Vouloii’ bien clécl..rcr
la guerre :‘1 la France 3 l’nfliimnt en méme-temps
dc {on inaltémble ficlélité, ainli quc des difpofzions
oil font sous {as {ujms , dc (acrifier lcurs bicns CK:
lcurs vies pnur 1e mainticn de l’liouneur (Sc dcs
droits dc {a couronnc.

Dc Lixlwmzrze J as 7 fc’vricr. Le prince royal {ell
rcmlu : il y a pen dc jours, an neuveau baiiiii,
creufé :‘i grands finis, pout fervir i catcher lcs mif—
fcaux de guerrc idans l’arfcual memc. On vouloic
faire l’expérience devant {on altelfc royals; unis
fair défaut dos combimifons dcs ingénieun 0L1
cl’intelligence dams l’exécution , on me put jnmais

parveni: 81 y concluire une fi‘églce. Les entrcptc‘

 

 

 

 

 

 

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neurs étourdis de ce contra—temps, chercliéren:

plufieurs pi‘étextcs d’excufe, & 1e prince voyanc
leur emlmrras , les confola, en difnnt que , $1.13

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ballin ne pouvoic lcrvir pour ics \Iall'lcitlrlix, i1 1;:-
viroit du moins pour conferver l: poiilon. On af-
{ure clue trois millions dc crcuzades ont été em—
ploy'és d cc: ouvrage. —— Le prince a {upprimé
{on théfirrc particulier; maisil a domifé les onlrcs
pour en élcver un aurre, fur lcs deifems clu beau
rhéirres'ic'l'm‘in , il a dejd donné40poa creufmlcs
£1 CCE efiét, C’x’ en a alligné 15,000 fur un ‘ empmnt
foumi par la fume du tabac, rcmbourfablc cn
vingt ans , par forme de 10texie.C’cfl une compa-
gnic d’Italiciis qui ell clmrgée dc ccccc entreprife.

U11 mvire d’Ul‘tcnde a conduit d 215 metre pom,
CCS jours demier Ciuq émigrés frangzis, parmi lull
quels il y en a 1m appnrzcmn: :‘1 l; Exitille dc
Zia/girthcs cilaigtés aymttlonné dc; i‘cnfeiwnmtcns
filli’ilans dc lcurémt, dc lcurgr.1> dorés, mndis que la. vofite du Ciel, ell le feul
v rideau :‘1 l’abri duqnel ils gourenr le fommeil -,
a: meres 8.; filles, ciroyennes dc Mayence , jertez
» les yeux fur les annalcs (lu monrle 5 n’a—t-on pas
v vu nurrefois les belles Carrlmginoil‘es fe couper
» leurs longs cheveux, 3c les tlépofer {or l’aurcl tle
3: la parrie , pour étre employés :‘tconflruire cles
inflrnmens meurrriers qui devoienr porter la
morr cliez leurs ennemis, &c. 8:0 2)
Cer avis exhorraroire a fair unc vivc imprellion
furla majoriré des lmbitans de Mnyence, qui fe
{our emprelTés de foufcrire pour venir an fecours
(les folclars frangais. La foufcriprion a produit une‘
fomme conlidérable , qui a été fur—le—clmmp em-
ployee s‘. acbeter cles bas , des fouliers , cles uni-
formes , 8: plufieurs effets de campemens.
Mayenre, cc 15 fe’vricr. Pour prévenir (le plus
granils inconveniens ,fuites de l’abus de la liberté ,
le general Cullines a fair publier une ordonnance
qui atteinr tonsindillinélsement depuis lui—méme
general, jufqu’au fimple foldar, & qui dir que:
quiconque {e portera :l des violence: on des ou~
trages envers les bourgeoifes 8c femmes de la ville
on de la campagne de maniere qu’il en {oir fair
plainte,fera puni fur-le-claamp de liuir jours (le
ptifon, expofé chnque jour fur la place publique
avec un écritean porranr ces mots: ciroyen dflmz,
foi’daz indiciplinc’; enfuirc les fontcilséfic les chevenx
rafés, banni pour jamais de l'armée.

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FRANCE.

De Perpz’gnan , re 24 _,r"c-’vricr. On écrit de cerre
ville, que la mort de Louis XVI avoit déji fair la
plus grande fenfation clans Barcelonne, nmisqu’elle
s’étoit tournée en fnreur contre les fi'angnis, qunnd
les habitans onr appris qnc Charles IV lenr {ou—
verain, défcfpéré de ce fatal évenemenr avoir faic

 

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craindrc pout lfes fonts. A l’inl‘taut, les murs ont
cite couvcrs do placards oft le pCuple ell invite 51
venget la mort duparent de [on bon roi , pat tous
les moyens polllbles. En un clin cl’ctzil , 1a letmen—
tation ell devenuc génétale. On a admire-men:
excite des emeutes patmiles ouvtiers, fous pre-
texte de la chettedu pain. Le gouvetneur, 1e corps»
de villeontétémenacés& l’on n’apas manqued’at—
tribuct aux ltangals tous ces monvcmens. Ils ont
été lnfultés, quelques uns meme attetés, & la plu-
patt ont failll perdte la vie. On n’cntend clans
toutes les clmites, pendant ce CattEme,que des
déclanmtlons conzte l’lmpiéte 5 la fétocité fi‘angaife
8: le peuple, patron: leme‘me, ctoit betement Li
toutes ces calomn: .

D5 Sui/zt— I’M'cry-en-Caux , cc 2.2 favrier.
1Vedette ! je t‘annonce que vlngt fregates anglailes
fonten crolfiete dans la Manclre; les Anglais Vien-
nent brftler nos lsfi‘timens 5 les Cotes des environs
de cette ville {out mal defendues 5 lcs habitans
craignent que l’ennemi ne vienne plller leuts tolles,
lent bétail 5 elle ne polséde que deux canons 5 on
demande :‘1 la commune de Paris quatte canons de
quatte CY fix livres de balles.

Pan's. Les deuxptenllets articles delaloifut les
émigtés vont sfirement jetterbeauconp de troubles
dans les famllles qui ont le malheut d’avoir quel-
ques émigrés. Tout dans cette loi el‘t marque au
coin dela haine la plus vigouteufe contte ces cufans
ingtats emvers la pattie 5 ce qui ell jufie 5 mais en
meme temps on punit leurs familles , comme au-
ttefois 1e dclpottfine {e vangeoit fur route une
famille entiC—te de l’alfallinat d’un roi 5 encore au
moins la vengeance des tois {e bornoitrelle :1th
proches individus , les excluolt du toyaume , 8: ne
s’occupoit point de leuts pol‘tetlté. La vengeance
de la Republique ef’t plus ptolongée 5 elle punit dc
la peine de la mort ciu/e, (peine abolie parla conf-
tution ) tous les émigtes 5 ce qui elt jul‘te , on les
rend incapables d’aucuns efllts civils 5 &' par une
contradiction frappante, cette condamnation n’aura
ancun eflet vls-zi-vls de la Natlon. Ainfi , un emiqté
nepeut nl vendre, ni achetet , ni loner, ni amml t,
ni recevoit , ni fe marier puifqn’il cl‘t mott civlle-
ment; 8:. cependant, s’il Vend , donnc, recoit ,
fe matte, tout appattientd 1.1 Rep.!biique , ce
qui ell encore plus tecluetclte’ que la confill ation ,
loi barbate , jugée telle par la COHPElClHlUl] de
1791, (S: abolie pat elle.l\lals ll. )1 a dans la loi une
inquilltion encorefplnsfévére; tin emigre {Lta cenfe
v1vre encore cinquante ans 5 [er . '

 

 

 

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a lonfttalt un indivlclu a la focmte, (:clle-f
plus de (lfGlt futlul 5 5c villa quepar on: i; 5 .
tnconcevable , le mctt vista encore nn (lent:
lléclc. Beauconp dcmlgtet 4': .cl‘; de cinc‘jnantg
ans font allurés Lies Reta-.1 lent date an mains
centenanc—s 5 CV l’on l‘nppolfle one pendant cette
longévité , lls tecneillezolzt t,t.tes les ft;cc¢llion£
qtftls autoient tecueillles s’ils etlllenr vécus. Dans
cette llypotllele , ll n’cft pas une fortune dans les
familles qui ont un patent , mtnie elolgné , enu—
gte qui ne puilTe devenit la ptoye de la Natton.
Voila l’interdit du fen 8»; de l’eau (I) tenoux’ell:
contte ces familles5 petes , txae'es , enfans , l‘tc-tes .
{cents , neveux, nleces , conllns Ct coufines cles
émigrés ne peuvent plus faite aucune dllpofitlon ,
ni creet aucnne laypotlleque an prejudice de l’nc-
tion nationale fut lents blens prefens & filti?1‘5.,
Comme ll ell polllble que l’énngté futvlve a tons
{es patens , 8c que quand ll ne leut furvivroit pas,
on inppole pendant cinquante ans qn’il lent a. lur~
vécu, voilzi tons {es patens dans un em d’lntc—n
diction5 la Nation fe joueta de lCUIS engagemens.
Les voila punis dumalheur d’avoit en un emigré
dans lents familles, pelne d’autant plus cruelle
que la nation fuppol‘eta toujouts des émigre’s
lorfqu’il y aura eu quelque difpatution 5 comnze
on foutient aujoutd’hui que Tnierry,elt vivant 8:
émigte’,quoiqu’on attelle {on allallinar de Fifi
a lajoutnée du ) feptembre5 comme on le dlc
émlgré , on va le {uppofet vivre encore clnquante
ans 5 non-feulement [es biens font confifques puif—
qu’ll ell emigre , mals encore ceux do {a venve ,
de {es enfans, de lenrs patens méme de ceux qui
s’allietont a eux, pourront bien m1 jun: appartenlt
'3. la nation, ll route cette famille s’e'tc—int pendant ces
cinqnante ans.

§. On fair circulet un nouveau profet de conf—
titution, qui n’a pas du moins le defaut de la
ptolixize. Le voici :

u x". L’anarclne feta petmancntc en France,

2°. Au. peuple apparttent le domaine national
de France.

 
 

  
 

 

 

(1) Les Romains défendoz’ent de dormer du fen Svde
l’eau aux condamne’s a 'a deportation ; enforte one cent-
Ci étolent Force's de s‘expatl tr; e on’on parolt \‘oulolr
t‘XlE’er indirectement dos par:;ll$ des emigre-s, par la dif—
pofition de la nouvclle loi.

  
 
   
   
  
  
  
 
   
   
  
 
  
  
  
   
   
   
   
    
     
    
  
  
   
   
   
   
 
   
   
  
   
  
  
  
    
   
  
 

    

Nmm—‘mn— m”~_—_,

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3°. Les ptopriétaires aficiicls font delégués pro—
vifoirement dans leurs prepriérés.

4“. Les fruits appnrriennent '31 tous.

/ 5". Le pouvoic municipal ( montéd l’inflar de
Paris) feta la feule autorité en France.

Qn poni'roitprendre ce projer pour une plaifan-
tetie , 1i l’on n’entendoit dire gravemenr qu’il ne
{nut point de COllliiCuflOI], & qu’il faut l’ajournet
z} deux ou trois ans.

§. Exzrnit d6: rcgiflr‘cs r15 [a feflion de [a Butte ales
Alanna: J ([1 2.6 fl'vrier.

L’ancmblée génétale declare quc Ie corps
mu nicipnl a perdu fa conlinnce pour n’avoir pas été
51 {on pofie dimanche & hier, CY pour n’avoir pas
cmpeclié par tous les moyens qui font en [on pou—
voxr, les troubles qui fe font nmnifeflés depuis trois
jours ; qu’en confequence elle invite les quaranre-
{ept autres {actions .‘1 demander 1e renouvellement
du corps municipal clans le plus court délai:
arréte en outte qu’elle improuve également
la conduite du commandam-general pour s’érre
abl‘enté de Paris les memes jours qu’il devoit prevoir
1es troubles. n

CONVENTioN NATIONALE
Suite de [.1 fi'ance diz/ZI/nedi 2 mars.
Suite d5 [(2 [oi/Fir [cs e’migre's.

III. Son: émigrés , 1°. rout Francais de l’un &
dc l'aurre fexe qni, ayant quitréle territoire de la
répiiblique depnis 1789,1121. p.15 jiifiifié de {:1 renttee
en France , Clans lcs formes prefcrites par la loi clu
8 avril 1792; ladire loi continuera d’érre exécutée
en ce qui concetne les peines pécuniaires , contre
ceux qui f’eront rcntrés clans le délni qu’elle n
prefcrit. _

1“. Tour Francais de l’un & de l’autre fcxe

' . . J r . . _ . .
aofent clu lien do {on domiCile, qm ne iufhchra p.15
dans la forme qui v.1 (:tre prefcritej d’une réfidcnce
flinsiniei‘i‘uption en France clepuisle 2.9 mai I79L.

3°. Tout l'rrnncnis de Fun 8: tie l’antrc fexe qui
quoiqu’m‘luellemenr ptéfent, s’eli able-nae du lieu
de {011 domicile 8: neiul‘tie'rierapas d’nnerélitlcnce
fans interruption en France depuis lc 29 mai 179 2.

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4°. Ceux qui fortiront du territoire de la réplh
blique fans avoir rempli les formalités prefcrites
par la loi.

5°. Tout agent du gouvernement qui , ayanr
été charge d’une million auprés d’une puifrance
éttangere, ne feroit pas rentré en France dans trois
mois , du jour de fon rappel notifié.

6°. Tout Frangais de l’un & de l’aurre fexequi,
durant l’invafion faite par les armées érrangetes,
a quitté le rertitoire francais non envahi, pour
relicler fur le territoire occupé par l’ennemi.

Se’ance du dimanc/ze 5 mars.
Préfidence du citoyen Dubois de Crancé.

Les COIIIIIIifraiEES de la convention écrivent de
Louvain , le premier mars, que le peuple librc de
cette ville a émis {on vmu pour {a reunion :i la.
République.

On avoir répandu dans la falle que Berg-op-
Zoom étoit pris , qu’on amenoit des émigrés par
charriots. Cetre nouvelle eft dementie par la lec—
ture de la. lertre ci—deITus , portant denmnde des
lmbirans de Louvain pour leur reunion 51 la. France.

On met le département des Lnndes , commc
départemenr frontiéte, en état de permanence.

Les commilliaires des 48 feé‘tions de Paris ,
ayant le maire i leur téte , demandent le rapport
du décret qui autorife le commerce dc l’argent ,
la peine de mot: contre ceux qui fondenr dos
efpeces en lingots , la diminution de la maITe des
allignzts eny filbl‘titunnt des quittances de finance;
cnlin, lcs peines les plus fevcEres contre les accapa—
reurs. Renvoyé nu comiré d‘agticulrure.

Una deputation de Lyon fait le récir des perft’n
cutions que le confeil—général de la commune a
éprouve’es de 1:1 part des arifiocrates. On renvoye
les informations pardevant le tribunal de Macon ,
comme celle des procedures contre les auteurs du
pillage du 2.5 février nu départemenr dc Seine &
Dire 2i Vetfnilles.

Des cleputés Brugeois npportent lc voeu de leu rs
conciroycns pour la réunion .i la France. Cerre
reunion eli {rude—champ ddcre’tée.

On lit une lcctte de Dumourier, écrire avant
la pril‘c de Brecla, parlaquelle il annonce la prife
du fort de Klzuzzerdzs 5C de celui de W’i/Izamflad.

On foufcrir :1 Paris nu bureau do in Vedetie , boulevard do in ports: S'iint-Bfartin, :i celle SainrflDenis, N9. :.

 

Le prix de l'eluonnrnien: eli de 27 llVl‘c’S pout :

31115.0) 1; liv. pour {ex mois, 7 liv. 10 {015 pour trois mois. On
{regatu’abonzer pour deux mors en €n\'0)'L\l1CU1l}1lilgndC{l3 cent fols. .

 

  
  
 
 
  
   
   
    
 
  
  
  
  
  
  
   
  
  
  
  
  
   
  
 
   
  
  
  
  
  
  
 
  
  
     
   
    
  
 

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