xt7ffb4wmd7f https://exploreuk.uky.edu/dips/xt7ffb4wmd7f/data/mets.xml  France  1793-01-01 This bulletin is part of a collection of newspapers and journals published during the French Revolution, collated by unknown person, representing both sides of the revolution. Call Number Rare Books: AP20 .R235 bulletins Rare Books: AP20 .R235 French   This digital resource may be freely searched and displayed in accordance with U. S. copyright laws French Revolution publications France. Assemblée nationale législative (1791-1792) France -- History -- Revolution, 1789-1799 Vedette; ou, Gazette Du Jour, 1 January 1793 text Vedette; ou, Gazette Du Jour, 1 January 1793 1793 1793-01-01 2023 true xt7ffb4wmd7f section xt7ffb4wmd7f éfl‘nf‘; rd.-

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(ZETTE DU JOUR.

F1 Angels, de grands événemens ('e préparenc; je (his .en Veda“ : rout cc.
, no 1': vols , (out ce que j’entends , fur 1e champ ,- 1e vous ‘en mflmis ; ce .ue yous
Loom/rife: , ce que vous apprendrez , faires-le moi favoxr , )e 1e public fur l euie.

 

Du mardi Premier janvier 1793.

W

Sun L’ANNizx 1792..

L‘an x792. cfl expiré , 6c déjz‘i commence ~'dés
‘iujourd’hui pour lui la pofiérité: twp prochcs
fans doutc de cette époque pour en juger les évé-
nemens que nous avons retracés chaque jour avec
nurant d'impattialiié que de courage , nous ne
nous occuperons pas :i en rappeller ici l'enfemble ,
iii 5 pénétrer quels en fcront lcs réfultars.

Pendant le cours de cette année 8i jamais mé-
morable , routes les parties du monde' habité ,
on: joui d'un grand calme; il [emble qu’eiies fe
foien: rues i l’afpeél de cette révolution nou—
veile , qui change tout [ole {yfiémc économique
8.: politique de la France. Semblable a‘. un corps
mahde qui , Par (65 effous convulfifii , (fiche do
chairer do {on rein, lcs corps érrangers qui atm-
quent les principes de (a vie , la France a enfin
vet-n18: 1c tréne 6c l’aurel , qui, depuis quatorzc
fiéclcs, cxifioient avec cilc: aprés l'afl‘aifl‘emcnt qu’a
cnufé 5. comes {es patties certe horrible lutte , 12.
prudence Paroifroit cxiger d'cile qu'elle' s’occupéc

 

 

 

2‘1 reflaurcr {on corps malade ; le temps, 'le rcpos ;
la fageflc auroient contribué fans doure :‘i cicatrifec
bienrot {es blcfliues; mais tourmentée de 11 fiévrc
politique dc propager an loin dam l’Europe , 8c
dclfi dans l’univers , fes nouveilcs concePtions , la
France en cfl: venue 2i no point qu’il ne lui refio
plus d’autre alternatif que de fubjugucr l’Europc
:1 fes nouvelles opinions , on ‘d'étr‘e bient’o: écraféc
elle-méme fous 1c Poids du vafie projet qu'ellc a.
congu d’y affervir tous les peuples qui la circono
voiiinent.

Mais pour exécuter ce plan, 11 falloit n’éprouvcr

' aucun obi‘tacle. Unroi régnoit oncore; trois années

derévoiutionsavoient cerné avec peine, autout dc
[011 None , Ia. noblefre &'le ciergé qui , dcpuis fi
long—temps, cn avoient cté ifs appuis. II étoit clair
qne 1:1 bafe fe trouvant ifolée do tout ce qui Fou—
voit la fouzenir, elle {croit renvcrfée aupremicc
choc. L’excavarion en avoit été mafquée par 11
conQiruLion. Louis s’y crut forccmcnt appuyé ,

vain cfpoir‘. an ion: a vu écrouicr le tronc 3c 13.
101 fame Pour 1e coniolidcr. Un compl'oc vaftc ,

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'3;

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 médité dans le Glance; exe’cuté~ avec hardiefle ,
dans lequcl toute la capitale s’cfi trouvé enveloppée
{ans s’en douter , a 'détruit l’ouvrage des trois der—
nieres années; 8c tel 1e rafinement allucieux de
ceux qui l’ont conduit , qu’aujourd’liui meme il ell
encore incertain quel ell l’auteur dc cetre fubver-
lion épouvantablc ,qui nous lament {ans loix &
fans roi , an milieu des debris de la plus antique
monarchie dc l’univers , laille fiorter les rénes in-
certaines du gouvcrnement en routes fortes dc
mains , 8; livte la patrie au premier faélieux aHez
hardi pout vouloit réguer {ur le trone du dernier
des Bourbons.

Il exiltbce'pendant encore ‘ce Bourbon; mais la
lifitlie dn liéteur ,efi {ufpendue fur {a téte ,' un til
3e retieut. O inflant d’augoiffes & d’iuquiérudesl

2‘- ce fil font attaches les defiinées de 25 millions ;'

d’hommes , 6: pent-etre celles de l’Europe; le
fentiment' pénible de l’incertitnde glace toutes les
ptévoyances’, déconcette toutes les combinaifous :

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en 1795 doit abfoudre ou condamner l’avnée i

demiere qui', trop‘étofl‘e des évenemens uni
l’ont {urchargée, {emble avoit voulu en rejetter fur
lui, 8c le terme8c l’iflue.

NOUVILLRI irnxwolnzs.

De Lona/re: re 17 de'ccmére. —- Icttr: de M. Lar’z‘y-
Talia/Mal au pre’fiez'em dc [a convention nationalc.

Citoyen prélident , depuis le 5 novembre je me

fuis porté pour défenfeur de Louis XVI. J’ai“

écrit plufieurs lettres, foit 31 la convention‘natio—~
nale , {oit an miliiflre de la juflice. Une au moins
all parvenfie, puis ce qu’elle a été annoncée dans la

fénnce du- 6 décembre: alors elle n’a Pas été lue ;_ i '

elle llefitété fans doute aujourd’hui, que Louis XVI.
a ;confe,ntizi {e Choifir des'confcil‘s; aujoutd’hui
que les confeils q'u’il a choifis lui ont refufé leur,
miniflérei auj‘outd’hui que la convention a regu
publiquement a a fair elle - meme parvenir 2‘1
Louis XVI, <3; les offtes dvu vettueux Maleslierbes,
66 les refus deTarget. La convention qui a rendu

,

J

 

 

 

 

hommage aux principes de l’éternelle j‘ul‘tice , en-
voulant qu’un accule Hit défendu , nc voudra pas
s’en e'carter , en precipitant {on pieces avec une
rapidité q‘ui frapperoit d’impuillimce {es defen-
feurs. Je demande que mon nom {oit prefeiité ii
Louis XVI, au-dellbus de celui de Malesherbes.
Mon Plaidoyer el‘t prét. Un quart—d’lieure aprés
étre arrivé 5. Paris , je puis me préfenter 9113. barrcs
jc n’ai pas meme befoiu ale voir Louis XVI 5 il
ne me faut que le plaidoytr de {es accufirteurs , Ex:
fen note d’accufation ', je les 33. Si je ne fuis point
entendu , je {erai imprime'. J'aurai l’lionneur d’en-
voyeta‘. la convention ce que je ii’aurai pu lui dire,
65 ee feta moins de Louis XVI que de. la. nation
frangaife que j’aurai bien merité.

Dc Sour/2e Void , cc 30 novembre. --- Laure dc
Ciqale‘s cl Louis XVI.

a SIRE, i1 efiicraindte que la convention nationnle
fe decide :1 faire le proces cle votte majellé. Sivotne
majeflé croit que , fans traliir l’inde’pendauce de la
couronne qu’elle a reguc de {es ancétres, il lui ell:
permis d'avouer la jurifdiéliou de la convention,
nation-rile on fe. defendant clevant {on tribunal , .
j’ofela fupplier de me clioilir pour {on défenfeur.

:9 A peineconnu de vorre majef‘te’, 6c n’en ayant'
regu aucune grace, mon amour pour elle ne peut
étte que l’eEet de l’amour que je porte :1 la monaiw
clue , que la fuitc nécelTaire de ce fentiment pro-
fond que lie tout homme de bier). 'au gouvernemcnt
dc fon pays; 8.: peut—égte que certe circonflance
malheureufe clans tout temps , me V rend Plus ,
propre qu’ancun autre :lde'fendre pat desgrandes
raifons d’iuterét & de bonlieur publie , dans ls.
Perfonne de votre majeflé, la caufedc tous les
tois. V ., _ _ ,

a: On ne manqueta dc dire a5 votre majef‘tél.
qu’ayant été‘confiamment dans desfijpriuciptes .opa
pofés i ceux de la revolution , il ell; i craindre que 1
je me jette fur {a caufe la'defayeur vgiztacliée 2i mm
Rerfonne ,1, mais fivetre, majel‘té daigne fe fouyenii;

 

 q'ue j'ai défen'due tous les 'cl'toits d6 fon tré‘me ,' fans
que nul ait ofé me foupgonnet de ne pas aimet la.
liberté ', que dans ces temps de malheut & de hainc
ea les {crviteurs dc votte majeflzé , ea ceux teflés
fidéles au gouvetnement de‘leuts pores ont été li—
vrés :l routes {ottes d'outrages 8: de dillamations‘ ,
je {uis le feul contterlequel aucune haine publique.
ou particuliére n'a été dirigée 3vocre majefié pourta
croire que jc fuis auHi le feul 2‘1 qui il foit permis
d’efpéret de la défendre avec quelque fuccés.

n La grace que je demande .1‘. votre majeflé, me
feta plus précieufe que toutes celles qu’elle efit F“
m’a ccotdet dans la toutc—puilfancc dour clle a
joui: elle feta la plus haute técompcnfe que je.
Puifle recevoir de la conflante fidélité que je lui ai
gardée, 86 plus j’y penfe , moins je Puis ctoitc que.
mes efForts 6: mon zele foient entiéremcnt inutiles
an {ucces de fa caufe. n

F n A N c E.

Paris.Bitoteau, patlant futLouisXVI , a établi'
dans la convention, qu’elle dcvoitfe gardet de croi-
rc que l’opinion dc Parisifur le fort du ci-devant
monarque , fut cells des de'partcmens , & meme
celle defila majorité des citoyens de Paris. Il en a
donné le tableau ,. que nous croyons utile de pté—
{enteré nos leé‘teuts des dépattemens.

Je crois donc que chaque membre doit pronou-
eet fut ces deux quel’dons : Louis fera—t-il puni dc
mart ? Louisfcra—t—il conclamné a uue detention?
Trois exemples frappans {emblem appuyes cette
deruiete ptopoficion. L’Angletetre Punit dc snort
un de {es tois ;,Stuatd mourut fut llécliafaucl , BC.
l’Angletertc eu-t encore des rois. Rome, au con-
traire , chaff: les Tarquins, «St Home fut la Repu—
blique la Plus tranquillc 8c la Plus floriirante 58.:
cnlin , Denis le tyran , maine d’esole :‘1 Corinthe ,
ne vit plus. de nouveaux tyrans lui fuccédex, 31
Syracule.

Mais ,‘ citoyens , connoilliaz 8;: (ache: éviter-le
piége qui vous cfitendu. ll, n’y a que ceux qui ont;

 

 

intérét :1 ce que la tétc dc Louis tombe , que vous
difent’quc {on exiflence eft la caufe de tous les
troubles. Louis mort, ils auront bicntot ttouvé d'an
tres matiétes ileur calomnie; (3c vous {avez s’ils ex;
cellent dans cet att ‘. Louis clifent—ils, ell: la pomme
dc difcorde jetée dans le fein de la République.
Eh bicn l ils provoqucnt cles vérités que je vais leut
dire 2‘1 mon tour.

011 font ces divifions , ces difléntions clout ils
Parlent 91c ne les vois qu'é Paris. Oil font les ter-
teuts don: ils nous menacent E iPatis feulement.
Patcourez les dépattemens, 6c vous y verrez lc
fpeclacle confolant de la paix , clu bonheur 8c dc
la liberté. Jetez cnfuite les yeux fut Paris 5 quelle
anatchie y régne !

Voyez ici les loix méconnues , 6: les légiflateurs
avilis ',.voyez , fur plus de cent mille citoyens ,-dix
mille exercet feuls les dtoits qui appartiennenti
tous; voyez quelques individus fe raffcmbler. dans
lc local d’une feé‘tiou, en éeatter les auttes citoyens
par la 'tcrteur ,- & ptendtc leurs deliberations
défavoue'es fouvent le lendemain par. les vrais
amis de la libetté ', voyez la calomnie placatdée ,
difitibuée , tépanduc contre la premiere des auto~
rites conf‘titue’es 5 voyez ici une cinquanmine a’e c‘i-
toyerzs jeter lc trouble dans la convention , entra—
ver {a matclie, télifier é fa volonté , {e glorifiet de
cette réfifiance , s’énorgueillit cle leut tévoltc- , 86
par un talinement de calomui’e, accufet fix cents
quatre-vingt dix mcmbtes des défordres qu'ils oc-
cafionncnt; voyez eufin‘ unei poignée de citoyens
égatés déshonorer leutcaraélére dc républicains par“
des lmées ou des acclanmtions coupables , 86 vou-
loir force: fept cents (léputés unis de cum: 8: d’ef-
ptit , :l fervit les ptojcts ambiticux de quinze '3.
viiigt'ci—devantnobles , d’aurant de préttes 6:..le
quelques juges du 1 feptembre..

Voilzl, cependant,.ceux qui fc-prétcn-dent‘lcs amis
du peuplc ? s’ils l’étoient , ils mettroient fin i ces
défotdtes; ils clietclieroieiit :l. ramenet, les efpritsa.
all-lieu dglcggllumcr file les aigtir Ratrdlatttocqis‘

 

    

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a...” -‘ ~1, .um—wnP-w

czilomnies: mais non ', ils l'onr dit aux-memes : c’efl:
.l’infurrection de la. minorité contre la majorite’ ,
-€el‘t-:i'~dire, de Paris contre les départemens.

§. On écrit de Londres que la guerre de
I’Angleterre contre la France paroir enfin de’cidée,
& le peuple y Prend autznt dc Part que le gouver-
nement. Pour alimenter ce fentiment ds haine du
penple anglais contre la France , on répand avec
pi'ofufion le récit des maflacrcs des 2. 5: 5 feptem-
bre, que lfon fair confidérer comme 1e crime de
la nation enriére. Depuis quelques jours , les émi-
grés cle Coblentz arriyent 2i Londres Par troupes ,
la pluparr viennenr de Hollande. Bouillé y eff dé—
barqué du paquebor de Rotterdam ; les ducs , les
marquis , les archevéques 8c une quantité prodi-
gieufe de prétres inondent les maifens 8c les rues
de Londres , & mus atrendent avec impatience 1e
plénipotenriaire Brereuil.

Le gouvernement {e Prepare i la levée dc vingt-
cinq mille matelots.

§. Le citoyen Sémonville , minifire plénipoten-
tiaire tie la. Réyublique fraugaife pres la cour Orto—
mane , left :‘1 bord dc l’efcadre qui elt dans la
Médirerranée , don: une Pattie i relichéen Corfe;
Elle ef’t forte dc trente vaill‘eaux de gueire on fré?
agates , ole beaucoup de chaloupes canonniéres , &

Tuivie de cinquante bfirimens dc rranfpors. Le to
de ce mois , elle ell partie de golfe della Spiega.
On préfume qu’aprés quelques expeditions , {i la
Porte {e refufe eux mefures qui lui font propofées
par le gouvernement francais , elle Pourra {e por-
ter aux Dardanelles.

C,oxv:xrrou NAT! ONALE.
Pre’fidence du citoyen Trc‘ilhard.

Sc’ancc du [midi 31 de'cembrc,

Le général Chazot demande 2‘1 {e juflifier des

Inculpations qu'on s'ell: permis contre lui, i l'occa-

 

 

 

 

lion dc Pall-hire du bataillon Mauconfeil. On pafi'e

2i l’ordre du jour morivé fur ce quc ces inculpations

" n’émanent pas ale la convention.

Une deputation de la feaion des Champs-
Elifées vient fe plaindre de l'efprit déforganifateur
qui paroit s’emparer ales autres {eé'tions , & dév
favoue plufieurs arrétés pris par elles. L'adrefle cfl:
approuvée 8c {era imprimée.

VFayor dénonce que les habirans de Lille (e
plaignent de n'avoir encore recu [aucune des in—
demnités qu’on leur a accordées. On décréte quc
le tréforier de lo cailre cxrraordinaire donnen le
bordereau des {omnies offertes par les villes 8: 165
commune“ que ces fommes feront remifes aux
maires 8: ofliciers municipaux , qui en rendront
compre 8: les repartironr d’aprés les états dc:
confeil's -ge’néraux , fous l'aurorifation des corps
adminillratifs.

Cambon propofe 85 fair décréter, 2‘1 compter
du premier janv1er , la fuppreflion de la caille'de
, ' ‘ l ' \ l '
lexrraordmane & qu'elle {era reume a. la. treforene
nationale.

Marat fair une motion d'otdre & dénoncc un
conc1liabule qul {e men: an Palais—Royal, 11°. 14.8.
Depuis qumze jours , Rolland s’y rend glc’ell—li
qu on a juréla perte de Pache. Dumourier a quitte’
[on armee pour {ervir leurs mancnuvres. Barbaroux
ell charge de fan-c lc rapport des 1némoires. On
paffe :‘i l’ordro du jour.

Vergmaux monte :ila tribune 8c parle fur le
procés de Lou1s Caper. Il aborde la qucfiion de
l'rn‘wolabilité 5concelli011 abfin‘de, dir—il , mais
cnnn accordee par le peuple. 11 (art Plufienrs forties
furd1flé1‘enresoplnlons, prononcées avantlui, 6c no—
tamment contre Robefpierre ;il demande le ren-
v01 du Proces aux aflemblées primaires. '

Dnbow de Crancé Vient e11fuite , 56 conclud i
la peme (la mort fans appcl.

Un aurre opznant :1 conclud aulli :‘1 la pcine
de mort. Celui qui 1'2. mm a demandé l’appel an

peuple. "

On (ta-fwd: i f’ans auburcan de la Vederte, boulevard de la ports Saint—Martin , i celle Saint-Denis, miméro :; I
Le 'm'lx de labonnement ell de 2.7l1vres pour l'année, I; liv pow; fix mois, 711v £0 £1 eoiu‘ um: more. on
text 5 abonncr pour dew: mm: en envoyant en 11th do cemfols. - .