xt7k6d5pcp4k https://exploreuk.uky.edu/dips/xt7k6d5pcp4k/data/mets.xml  France  1793-08-15 This bulletin is part of a collection of newspapers and journals published during the French Revolution, collated by unknown person, representing both sides of the revolution. Call Number Rare Books: AP20 .R235 bulletins Rare Books: AP20 .R235 French   This digital resource may be freely searched and displayed in accordance with U. S. copyright laws French Revolution publications France. Assemblée nationale législative (1791-1792) France -- History -- Revolution, 1789-1799 Vedette; ou, Gazette Du Jour, 15 August 1793 text Vedette; ou, Gazette Du Jour, 15 August 1793 1793 1793-08-15 2023 true xt7k6d5pcp4k section xt7k6d5pcp4k  

 

2;. Win“;

 

 

 

 

 

 

 

 

F R .1. N q A x s ,
cine 1e vms ,
éCOUVI‘H'eZ ,

1e grands évenumens {e préparenr
(our ce que i’enrends ,
ce que vous apprendrez , fakes-1e mom

-, )e luis en Vadurc ; rource
fur le champ , )8 vous .en infiruis -, ce que vous
favoxr , )e le public fur lhexua.

 

 

L’an deuxiénze ale la Repubfique

Du Jeudi

Fl'angaise.

I; Aofir x793 ,

W

NOUVELLES liTRANGl—LRES.

—— Convention cntre
51 majerlé l'z‘mch
Jig/26¢ [z Londres ,

Dc Londres, le 15 mars.
5a majesw’ brimnnique e:
rirzrica ([6 mules [es Rursies ,'
[c 15 mars 1793.

a Comme les personnes qui, en France , on:
cxcrcé le pouvoir exécutiF, nprés avoir plongé
leur propre pays clans la plus nffi‘euse misere ,
se.,sonr permis dc Prendre , cl l’égard CléS aurres
puissnnces, des mcsrures aussi injusres qu'olfin-
er qu’elles 5e conduisent en consequence
d’aprés des principes qni ne snuroienr convenir
ni :i la sfireté ni an repos des étars indepen-
dans, er compromerccnr l’exismnce de tour or-
dre public; comme ces mémcs personnes se sont
rendues coupables dc l’aggression la plus injuste
er 1:1 plus criminelle , en mercant un embargo snr
tons les navires qui se son: trouvé dans les
ports de la France , er le faisnnt suivre cl’une
declaration de guerre contre lcurs majestés le
roi d’Anglererre , l’in-ipérarrice de Russie , er leur
:i-lliéc la république des Previnces-Unies. ,

u Par ces considerations , leurs majesrés 1e
Roi de 1:1 Grands - Bremgne er l’impératrice
de Russxe , on: trouvé bon de convenir ensemble
d’un moyen d’opposcr une digue formidable i

sanres ,

ul

 

 

des maximes , :‘1 cles vnes er é des procédés qui
menaccnr route l'Euroge des dangers les plus
imminens. '

n En conséquence leurs majestés on: aurorisé
leurs minisrres respecrifs , savoxr , de la part du.
roi d’A'ngleterre , S. E. M. \Villiam Windham,
baron de Grenville e: de \Varron , un des con-
seillers intimes , er. principal secrétaire d’érar au-
départemenr cles aflaires étrangéres; er de la par:
de 5. M. l’impérarrice de toutes les Russies,
S. E. le comte Simon de Woronzow, lieutenant—

énéial de ses armees, son ambassadenr extra—

ordinaire er pléniporenriaire auptés de 8. M.
briranniqne , Chevalier des ordres de Saint—Ale—
xandre-Newky, er de la troisieme classe de
l’ordrc militaire de Saint-George; er grand—
croix de la premiere classe dc celui de Saint-
\Vaa‘imi, aprés s’erre communiqué lenrs pleins
pouvoirs rcsPeCtifs , de convenir des articles
suivnns , savon‘ :

Art. I. Lents majestés , conformémenr aux
liens de l’ancienne amitié qui les unissoienr , elles
er. leurs prédéeesseurs, liens qu’elles desirent
conserver en les resserranr, emploieronr tous
leurs soins pour , conjoinrement er definitive—
menr prendre les mesures de s’assister recipro—
quement pendant cerre guerre2 afin de pom/oi;

 

 

  

 
  

  
  

 

’au moment de la paix, se procure: route sa-
tisfaction er sfireté qu’elles our droir d’en ar-
rendre , er gatanrir pour l’avenir le repos public
er la rranquillite’ de l’Europe. '

II. Pour cer effer, leurs majesrés s’obligent
d’employer leurs forces respecrives, auranr que
les circonsrances clans lesqnelles elles se trou-
veronr pourronr 1e permerrre, :‘i conduire la jusre
er indispensable guerre contre la France ', se pro—
metranr leurs majesrés re’ciproquemenr de me
point poser les armes que du consentemenr una-
nime, er clans aucnn cas, sans 'la resrirntion
dc routes les conquétes que la France pourroit
avoir faires, soir sur leurs majesrés, soir sur
les aurres puissances leurs amis er alliéc; erc’esr
sur certe garanrie que porrc tresvspécialemen:
le consentemenr des liaures puissances Contrac—
rantes.

Dans les aurres articles, ces deux puissances
prometrenr de fermer leurs ports 5 tous- les na-
vires frangais, de ne point permetrre qu’il soit
inrrodnir en France ni munitions de guerre,
ti'i viv‘r‘cs (llaucune'espéce quclconque, er d'em-.
pécber que d’aurres puissances neurres, A cause
dn danger qui menace tour étar civilisé, ne

défendenr le Commerce et les propriétés des Fran-‘

gals , ran: Slll‘ ECII'C‘ quC Slll‘ mer.

PM one aurrc con vention , Sous la meme Care,

le rraire’ de commerce de 1766 , si favorable
aux Anglers, a ére renouvcllé aver: la cour de
Russre.

anuca.

De Nice, [2 31 Jail/er. -— Avnnr-bier au soi‘r
er hier marin fitrenr signalés z‘r ccrte liaureur cinq
gros vaisseaux de guerre, qu’d leur construction
l’on jugea anglois. '

La garnison cle cerre ville a accepré solemneln
lemenr la consrirurion. ‘ ,

On a nppergu bier (les Isles—Saints-Nintguerire
plus do 40 :bfirimens :lc- guerre , ce qni avoir Eur
croire que .les escadres espngnole er ‘angloise
er01enr reunics.

Dzmhrque, ‘le r" A017: 1793. -— Lezrre angle/'55
intercepze’e ct lire .par la comize’de 5a!ut_.pub/ic 4‘
1a convention natiamz/e.

La posre n’étanr pas sure, je vous écris par oc-
casion, er la chose en vaut la'peine.
Je’ suis insiruir, ‘par mon banquier-rle Londres,

{I}

'l

 

 

 

 

 

 

 

que si le cabinet de Saint-James ne pent pas par-4

_, ; venir, d’ici an mois de seprembre, A occasronner
un orand mouvemem dans la France, pour le

0

' discredit des assignazs, er la hausse _ progressive

de routes les denrées , le ministere doir renter nn
dernier coup, qui doir infailliblement réussir.
A la fin de seprembre, rous les banquiers de
Londres, d’Amsrerdam, de Vienne, de Ham-
bourg, doivenr suspendre rous leurs payemens.
Aucune rraire ne sera arquitée; er lors du recours
sur ceux qui les auronr rirées, i1 {audm que clans
route In France leur payemens soient aussi sus—
pendus. Certe suspension subire doir opérer un
ébranlement general daus routes les fortunes, er.
un soulevemenr dans vorre république, qui doir
ditigcr les puissances vers le but on elles veulenr
venir; car il est temps que les honnétes gens se
pretenr :‘1 routes les mesures qui peuvcnr sauver
vorre malheureux pays , qui ne peur exisrer sans
roi, er qui , en érar de république, boulever-
seroi: rous les royaumes de l’Europe, et écrr‘rse-
roit le commerce qui, heureusemenr, ne se prére

\ point 2‘1 cer aEreux gouvernemenr.

Invirez rous les banquiers que vous connois~
sez, de ce nouvean plan; nccre’drrez les revere

" - de la Vendée. Les derniéres levées parisiennes

nous servenr :3. merveille.

Nous avons des émissaires répahdus dans les
départemens du Nord, pour cmpécher les ha-
birans des campngnes de se lever en masse, er
cela réussir 2‘1 merveille.

Je vous salue cc vous cmbrnsse.

Dc Tréporr pres Eu, 1:: 8 Aoér. Il s’esr passé
hier sur nos cores un événemenr extraordinaire
ct' que la nature ne produir pas souvent dnns
nos parages. Sur les 7 lieures du soir, la mer‘
éranr presque roralement retiree , le temps abso—
lumen: mlme er fiiisant crnindre un orage, il
s’esr élevé sur nos cores un mouvemenr snbir
de flats qui se sonr portés r‘tenviron cenr roises
au-dessus de la parrie qu’ils baignoienr clans

ce moment.

Si l’ascension des Hots a éré rapids, le rerour
vers la mer l’n éré de meme. Peri apres un
semblable mouvemenr d’oscillarion s'esr renou-

’: vellé jusqu’d deux fois, mais l’ascension des cam:

a été successivemenr beaucoup moins considé~
rable. ‘
Plusreurs personnes ~qui e'toienr occupées le-

lon-g =de lasére 2‘; la péche; on: couruunigranrl; ‘

    
     
    

 

 

"’L *‘gnJ-c-‘u .- .< :.

 

 

:r

    

   
 

 
 

danger
la Viol
échapp

ues (
q I1 8
naires
bO‘JClll
parrie
lcs Hr

aulieu

  

no; pa
rons l
de tr:
\ 1
a lex
Dc
CI-joli
siege.
norre
jusqu

a
des d
de 8c
malgli
porte

HI
sance
sonpr

I:
inarti
plus
qui,
de 5
voiei
fond
en (
pnrfa
sue r
de l:
31 de:
vanrr
barb
crain
ne v
5011‘

        

":te

is~
ers

16$

    

' ~_.. . A .2-” .1 Lam; M;

 

       
 
   

danger, et quelques tines om été tenverséespar
la Violence (les Hots. Ellcs se sont cependant
éclmppées du peril cn pcrdant leurs filers er quel-
ques objets relatifs Ll. lent trrnmil. _

Il est bien :‘t craindre que ces Hots exrracrdi-
mites n’ayent cause plus d’accidcnts vets llam-
boucliurc de la Somme , parce que dang Cettf:
partic , (qui d’ailleurs est exrrémenent lnsse)
lcs Hots doivenr rouzbcr pmpcndiculaircuzent)
auliuu qu’tls ne frappoient sur nos Cotes qu'en

r
gnssant.

Ce mime phénoménc a encore en lieu dans
no; parages il y :i environ 2.3 nus, Nous en igno—
rons l1 cause, cr n’nvons semi auctne secutzsse
do ttemlvlcmcnt de terre. C'cs: aux p'nisiciens
'5. l'explirgurn'.

De lnzzu’rw, [c 4 .4013. -— Je vous envoie
ci—joint ls proclamation dc la Ville en état de
siege. Elle doit rnssurei' tous nos fréies sur
notre dévouement i la dcllendre fidélement
jusqti’ii la mort.

La pOSEC n’cst pas atrivée nujonrd’liui. Hier
des détncl emens ennemis on: attaqué un convoi
de 30 voitures quinvoient conduit dc la poudte;
malgre’ le prompt secours que nous leur avons
Forte, ils en out enlevé huit.

Hier ils out aus‘si fait de gmndes réjouis-
sauces, nous en ignorons les motifs, nous les
soanonnons.

PROCLAMATION;

CITOYENS,

Ia reddirion de Maycnce, certe 'eddition
inattendue, fruit de 13 plus intermlc, et de 1.1
plus perfide combinaison 2 cette reddztion entin
qui, si les rois, qtii pésent (lepuis (les milllers
de siéclcs sur la mallieureuse .liumanité, 11:3-
voient prouvé par lcurs crimes multiplies , la Pro-
fondcur de lcur scéleratesse, suffiroit seule pour
en donner la mesurc, e: nettre dans la “plus
parfaite evidence , jusqu’d quel point la per'i'er-
sité des cours , pent Calcnler les mo'yens (l’;=.l)user
dc braves soldats , qui se confient aveuglement
2‘1 des génetaux , qui les Hagornenr , ou le éoon-
vantcnt, par des acres de l’atbitrairc la plus
barbare. . . . Cttte reddition , di5«je, nous Fair
craindre, que les forces reunies devant .Mavence
ne viennent , pour intimider les réptiblicuins qui
sont clans Landau; er suivant 1a noble coutume

 

 

 

 

 

“‘\“*~.¢v-"."1" » ,, . r. ..

rm: ‘7’:

 

 

 

 

 

 

de ceux qui les moment, lcs force-r par un borna‘
bardement, £1 une capitulation lionteuse er 3.3/11
lissanze ! l!

Déji lcurs scrviles cohortes se montrent au-
dacicusemcnt :1 la vue de nos remparts, er in-
tcrccpzent , pour ainsi dire, nos communications
avec nos freres cle l’armée du Rhin.

Le couseil de guerre, dour la Frudence du
represeiizant du peuple et de nos générsux s'cst
entourée, a cm; cunformément :i la loi du 10
juillet i791 , déclarer la ville de Landau en mi:
de siege. . . . Cette détlsiation , clc'l‘enseiirs do
1:1 pattie, feroit-elle chanceler voti'e courage?
{trait-ell: tr-embler ales Citoycns frangns,
qui out inis lsur vie -.i la defense Ci: la repu—
blique? . . .. Nous trembler! .. . . Nous fran-
gais, nous en donnerions le premier excmplc!
Non . .. Ali! . .. .le vois an contraire brillev:
sur vos {to 1tsle étincelles d’une valeur , devenue
plus grande ii l'aspecr des dangers.

Vous riendrez vos sermens ) utoyens , ces sern
mans sactés, qn’.1 la. France exitiere vous a‘cz
fair entendte. Dc l’accomplissement de ces set-
mens, drip-end le sort de vos femmes et de
vos enfiins , de vos nflL‘Ctions les plus chores.
Mourir we; honneur, on fiiir aver: ignominie,_
tel doit étre le i‘ésultat dc votre conduite cm
ces murs. ‘

Au nom do 13. répnblique {ran aise tine e:
indivisiblc; du. repress-titan: clupeu le Dentzel,
des genetnux Laubadére et Delmns, comman-
dans certe place, CE dn conscil de déflnse, lcs
ville er ftirtitit‘stions de Landau sont dEClarécs
en émt de siege, 6: de defense 2‘1 ”101'! contre
les puissances Coalisées, pour déttuire la libetté
du peuple fmngais.

c
J
P

Paris. -— Dcpuis deux jours la fonlc se reé
ports Che: les boulangers. Deux :l trois cents
{emu-res passent la nuit pour retcnirlcur tour
2: recevoir les premiers pains. Quand chacun l’z
obtenu, il ne pens-s plus :1 1:1 peine qa’il a eu‘
lrotn' se le procure-r. Le soir des gtoupes'de
mende se formeut dans les rues , sur les bOL‘r‘
levards, dans les jnrdins; Cllflflln y raisonue
:‘t sa maniéte des grandcs mesutes qu’il con-y
vient dc: prendre contra l’ennemt qui s'awnr-s:
sur norre territoire. Deux grands projets ngirent
tous les esprits les uns veulent que la peuple
se léve en masse. 5e lever en masse est une
idée sublime , vasre, majestueuse, terrible. Le

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

    

 

 

    
 
 
 
 
  
 
  
   
  
 
 
 
 

  

 

 

people se leve en masse,‘ c’est cl dire que tous
l-cs ciroyens depuis 16 ans jusqu’t‘t so doivenr
gnrtir sitnulranemenr 3 an premier coup de ram-
our cliacun se tenclra clicz sou capitaine. Deux
millions d’lien‘unes 5011: plus aisés :l avoir ainsi

que 50 mille liommes d’une settle levee. L’avant-_

game sera arniée de firsils, e: le teste atme de
piques, rle salutes, de broclies, tombem‘ sur
l’eimenti. D'aurtcs vertlenr 9““ la levee se lasse
pat contingens impotrans : LliEliJUKLl tous les jeuues
gens er celibataires, ensuite lcs gens 111311135
n’aynur pas cl’enfaus, er pour la ttoisieme le-
vee rous les ptEres de famille.

§ Le general Lescuvcr, a éré condamué :‘t
morr, er exe’cuté htet soit.

CONVENTION NATXONALE.

( l’résideuce de Héreult Séclielles. )
.Se'a/zce du [llcrrrsa’i 15 (4012:.

Des députés sous prerexte de santé deman—
denr des congés: arrendu que l’assemblée est
ur le point de céder 3:! place :‘1 une aurre,
on dérrete qu’il ne sercr plus deteiiavatir ac—
cordé de Congés.

Un clécrcr avoit ordonné l’apposition des
scellés sur routes les porres des academies. Les
travaux de celle des sciences suttout relatifs
aux poids er mesures étoient cessés. Un décret
ordonne que les savans continurront de jotiit
de lent local.

Les cotnmissaires de la convention'écrivent
'd’Arras du it que l’accepmtion rle la consti-
tution a été pour l’armée du Nord une fete uui-
verselle.

La garnison de Mayence qui v3 contre les
rebelles cle la Veudée er qui brt‘rle de les com—
battre, est arrivée Ll Orleans.

130 navites de la république artivant de St.
Domingue, sont enrtés clans nos ports; ils
amenent environ six mille marelots rrés—uriles
dans ce moment.

V Une dépuration de la majorité des sections
de Paris demand: une téformc clans 1e regime

'(43

 

 

 

 

cles prisonst Renvoyé an comiré de sfireté gé-f
‘nétale.
1 Un adminisrtareut de l’Eure vient , dans une
péririon, inculpet la municipalité de Berna’y-g‘on
‘admet le pétionnaire; on renvoye so petition
nu comi‘té, mais on rlécréte qu’il est defendu
aux administrateurs et aux mitorites constrruées
sous peine d’intcrciiction dc venir faire des p6»-
tlrions ti la buttc, de quirrct leur posre,\ar-
rendu qu’ils our la faculté rle les envoyet a la
convention.

Lejeutre , par une grande motion d’ordre de-
mande que tour le penple se léve, que tout, le
L‘Ollilllel‘cc avec l’éttitnger soir suspendu , qu on

spectacles , er rermine par demandet que legro—
rnité de salut public fusse son rapport sur lor—
ganisation clcs forces qui doivenr écraset nos
ennemis.

Cette derniére proposition esr seule décrérée.

Cambon annonce pout domain no important
travail sur les finances, qui doir éreindre 3."
premier janviet 1794, route la masse des ass-r-
gnats. La lni est volumineuse, elle 2‘1 250 arti-
cles , c’esr un syStenre general de nos finances,
comrenanr notre acrif er notre passif.

Tous les signes royaux disparoitront des con—
rrnrs , on ne sera plus créanciet .que de la. té-
publique', il se plain: des malveillans, qm font
coutir le bruit qu‘on vent s’empatet de l’ar—
genrerie, fabriquer un autte monnoye , snnuler
les assignars, entin établir une loi agraire. Ce
tableau par appetgu a regu les plus grands ap—

piaudissemens, er fan: dcsn‘cr de connonre ce

plan.
On exem re clu rccrurement les rmcr aux
P

 

£ .vn‘.

payeuts génemux,

On présenre un projer dedécret cle rembouta
semenr en faveur des rtéanciers de la liste Ci—
vxle, Danton s’indigne qu’on s’occupe de ces
coqurns qui on: prété l’atgcnt au ci -devant rot

 

ten—w.
EEKEE;

pout détruite la libe'te, er qui sour tous des
Signataires rles petitions. On admet la question

ptéalable.

 

On fousctir :1 Paris an bureau de cejoutnal boulevard de la porre Saint-Martin, i celle Saint-Denis N". 3»

Le prtx dcl’nbonnemenr de ce papier nouveue, le moins Cher de rouseft de 28 livres to (01$ pour l’année
11v. poutfix mots up hvres IO fels pout croxs mots. er pour deux mors en envoyenttm affignat de cent sous-

fabzique pat—tout des armes, qu’on ferme 168.

 

 

 

 

    

 

refuse
fen 5 t

Pal
toujou
nation
dans l
combi
lieu rl
puisse
:5. cor
millio
Thitri
sur or
fors;
er nc
munic
clan:
minis