xt7tht2gbr59 https://exploreuk.uky.edu/dips/xt7tht2gbr59/data/mets.xml  France  1793-04-12 This bulletin is part of a collection of newspapers and journals published during the French Revolution, collated by unknown person, representing both sides of the revolution. Call Number Rare Books: AP20 .R235 bulletins Rare Books: AP20 .R235 French   This digital resource may be freely searched and displayed in accordance with U. S. copyright laws French Revolution publications France. Assemblée nationale législative (1791-1792) France -- History -- Revolution, 1789-1799 Vedette; ou, Gazette Du Jour, 12 April 1793 text Vedette; ou, Gazette Du Jour, 12 April 1793 1793 1793-04-12 2023 true xt7tht2gbr59 section xt7tht2gbr59  
 
  
     
 
 

ire de

:ntion
don.
men~
mille
‘it ac—
ng‘rés
smon

qu’il
par:
woyé

une
5 pa:
i du-
and ,
:eaux
indie
at de

des
:e dd
s ou
le de
st en
3 SC
SC 19.
:15 1a
niét‘e
mn~
[neté
IS de
:ma.
mflé

‘CEC‘
area
'pri—

qui

inir.

 

 

 

 

 

 

 

 

nus-w-
- i
' m
‘0‘“)

 

 

 

 

 

  

2' :st

,/ —'t

 

 

 

 

 

 

 

-x
I w‘

 

 

 

 

 

L ,; mummmfgmmg .

 

 

:a' -

FnAncexs,

ue je vois, tout ce que j'enten

de grands évé

nemerrs re prépar
ds , In; I: champ ,

 
  

 
  

em; je fuis n Vader“: tau! «3:
je v9us_en inftmgs -, cc quc vmn
favmr , )e [e pubhe fur l'heure.

     

4,.

 

ctécouvrirel , ce que vans apprendrez , fakes—1e moi

Du Vendredi

17. Avril 5793.

I _ _

Nowvsunas iTlA-NG-ikls.

Dc Varmvic, cc 17 Mars. Anbext, ci-devzmt
agent de France anprés de notre cour, acruclle-
mcnt secrémire de l’ambassadeur Siewers , n’avoit
vu qu’avec beaucoup de peine Bonneau 1e rem-
placer ; celui-ci went d’61re arrépé et env oyé par
ordre x1e l’ambassadeur de Russie, er AUbEtt
s’gs: prété d vtoutes lcs manmuvres qu’il a fallu
faure pour VlOle l’azile du représentant de 12.
Emma. Ayant travzullé avec Bonneau, il savour
trop bien Oil 155 papiers dc cc dernier étoient
(,iéppsés; £11155i fut-on droit :‘1 l’armoire ou ils
etmen: renfermés. On assure que Bonneau a
c‘onservé la dignité et le caractére qui convieunent
a un frangais er :1 un républicain. Il c‘nercha
dZabord it arrttc—r l’eulévcmen: des papiirs , en
disaut: respectq cane plug, all: renflrma an
(1580:: qui apparricnt a una gmnde 71min]; , 6:
gm f‘: vengcm _d'c ["Iztcirzrc qne mus parts; & [a
puma! Lorsqu’xl fut amené dcvaut l’ambnssndeur
Smwers, cclui—ci Iui dit avec hlutcur: n dc qua!
(VII/(.012. ch’z-VOIIS 055’ ENC/Cfc‘nif {HIE C0rr€5f70ndllflC€
grim/tells avcc [cs e/mcmis d: ma souvcraz’nc .9 n
:1 :1 répondu: (1'1 mime droz'r qua vans [wag de
me (e damn/afar; CL il a. refusé dc répoudre 31
mute? lcs aunes questions qui lui on: été flutes.
L: cnoyeune Bouncau , don: la sensibllué es:

fl

 

 

 

 

 

 

 

mm

'dr’accompagner son

étenauc iv terte, aux pieds dc
Siewers, Jul demanda la grace
maxi, ou la mort. Sin—wars
la. reléve at fair :etirer tous les :émoins. 11 en;
avec elle une conversation d’un quart—d’heure,
aprés laquellc 11 In H: conduire environ-née dc
soldats , elle et sa fille, hots de Varsovxe; You
pxésumc qu’il l'n fair mener dans [6 camp n‘u
commandant—généml, Iguelstrom , on don éu‘e
son mari. Siewres finira par 1'accuser de toutes‘
Ics noirceurs , pour érablir ce qu’il appelle l’cxis-
tence du iacobinisme en Pologne , qui scrvira
de prétexte nu nouveau partage dc la Pologne.
Siewers avoit espéré d'écouvrir qudque {a port
eutre Bonneau et la colonie Folonoise de {cip-
sick. . . . . . Déjzi l’on fair préter en Pologne ,
le meme garment aux Frangais qui y son: 6t:—
blis, quc cclui prescrit en Russie par les ord-res
de l’ixlupgx'ntrice. On y a ajouté 66 plus :ven-
gearzce contra 155 assassin: du r05 Lam's X VI.
Toutes les lcmcs venues deFrauce son: Forzécs
i la police , qui {nit anétcr cclui .i qui ei‘e;
son: adrcssées , u: 1e {once 3 en Line In lccmre

est extréme ,
l’amba'ss‘adeur

5. haute voix.
De Drunk, cc x! .Mars. Le muustre d3
Bums a Cu: unc seconde tentative aupxés de

l’eleCteur, .pout l'cngager 21 him»: 1111 asyle en

   
 
  
   
  
 
  
     
 
  
 
 
    
   
  
   
 
  
 
 
  
  
   
  
    
    
  
  
   
   
  
  
  
 
  
 
  
    
  

    
 
  
   
   
   
  
 
 
 
  
  
  
 
 
 
  
  
 
   
  
 

 

§nxe, eux Polonois qui y son: venus se mettre
a labri des persecutions de Catherine. Mais
l'électeur a toujours fermérnent répondu que'
l'équite’ et la teconnoissance lui faisoient nu
devonr'de les protéget; que d’ailleurs il n'avoit
qu'fi se loner de leut conduite. Catherine ne
calcule pas lorsqu’il s’agit drussouvit sa haine
et sa vengeance.

F R A N c E. '
Icztrc dc Claizfayr au commandant —gc’ne’ral cl
Maubcuge.

.De Mdubcugc, ce 7. u Comme nous étions.
conveuus de nous avertir réciproquement 2.4, heutes
el’avance, quand la ccssion d’armes pourroit
cesser d’un core on de l'aurre, je dois vous

prévenir, mon généml, que les circonsmnces'

m’empéclient de la prolonget davantage‘, ct que-
vous ne pouvez y comptet que 2.4. lieutcs en-x.
core :9.

En l’absence du prince de Cobourg.
Signe, CLmuyr.

De Rouerz‘, 11g 8 Avril. Il s’ell: former ici unef‘,
compagn‘ie de Cdreibeanx , dénbmination qui [e-"i'
vient :i cellc 'de Sarzs- Culotze: ;~ c'e' corps est ‘
déjcl compose de deux mille hommes atmés pour -
l’exéCution de la loi : leur devise est l’exe’cution”
dc la [oiJ ou la mort .- ce detnier mot est figure
par une téte dc mort; plusieurs out certe devise
sur le bras. - i ' ' \ ‘

Vernon. Des le moment 01‘1 la gariie natio-
nale de cette ville a été instruite du decret qui
mettoit en état d’arresmtion Madame ci-devant
la Diicliesse d’Orléans , elle a Pris les armes et

fair (les cumuillcs autourdu chfiteauJSmtioné '
P .

néc prés la grande horrid-rejelle a vn 'arriver‘ Q
40 '.i 50 gendarmes avec un adjudant, et elle

'. I 4 s . r , ~ 1
leut a demande 01:1 ils ailment. —— Les gen-

tlnrmes our répondu qu’ils alloient s’emparei‘ den ‘

IVltadame d’Otleans aux rcrnies de la. loi.

La garde a' declare qu’clle étoit malade , et nc“: .

pouvoit sortir de chez clle: an méme instant, “
lcs geiidarmcs .se sont transportés chez’le maire, .'
qui lenr a (lit: u Je vais voir si Madame est
vmivnenr ,nmlnde; il est revenu, il a certifié
qu‘clle n’e'toit pas en état de soriir cle sa chambte ,
er lcllr :1 remis une lettre nclrcssée :‘i la con-
vention‘ Les .gen‘iarmes se son: retires.

  

iii

if

T

 

 

 

 

 

    

 

Paris. La montagne, la plaine et la colline
de la convention , son: plus animées que jamnis,
La. ttahison de Diunoutiet le‘ut donne une nou-
velle occasion de s’exaspérer les uns contre les
autres. Chacun des partis, accuse les antics
d’éti'e complices de Dumourier et de d’Or-
léans. Les Girondistes voyoient beaucoup' en
société Dumouriet, er de 131 les Guadet, les
Veigniaud , Gensonné sont complices de Du-

mourier. Lorsqu’on propose. lc de’cret d’expulsion

des Bouibons, la Mo‘nmgne pi‘it {ottcment
le parti de d’Orlénns et de 151, c’est la Mon-
tague qni vent un Roi. 11 y a peutuetre beau—-
coup d’injusuce de part e: d’autre, :‘1 se faire
de pareils' IcPl‘OClleS. Et la chose publique est
sacrifiée Pour secondet son animosité.

§ Cusrines n’a laissé que 12. mille liommes
2‘1 Mayence, il s’est teplié sur Landau, qm esr
bloqué, il s’est, re’tiré dans les lignes formées

Par Vauban. ..

§ Philippe Egalité est part1 pour Marseille
avec le plus jeunc de ses fils; on s’interesse
beaucoup an sort de’ sa Vettueusc épduse, qui

‘va éirefotcée de lc,.suivre..

§ Il est entré depuis lie to dans 'lcs prisons
de l’Abbaye , 5 personnes , savoir: Louis—Fromm
coir—Joseph Bourbon Conzi , ordre de police
d’apres un décret de la convention; Lignivi/z'e,
oflicier—général de l’armée de la Moselle , orclte
dn comité Vale sureté génétale de la convention;
Miay’nki, general, ordre du ministre de la
justice, pat suite d’un décret de la convention;
Francois Xavier , comte Aveslzerg ct Augustin,
comtc de Limmnge , tous denx venant de Rheims,
ordre du minisuc de la justice. -

TRIBUNAL RéVOLu-rIONNArnl.

§ Dans son audience du mercrcdi 10 avril,‘
le tribunal revolutionnaire a tendu le jugement
snivant : .

Le tribunal, vu la declaration unanime cles
jurés, portaur qu’il est constant , ’ 1°: que Ni—
colas Lhuticr, ancien grenadier au c1 —'devan:
regiment du ci—devant roi, engagéfienuxs (Klaus
le regiment n°. 102., Eur prisonnier a Trevcs
1:9 décembte 1792', tenvoyé pat l'cnnemx ,sans
cartel d’échange, 8 ans apres, au dire de ce
derniet , est convnincu d’avoir, le 31 mars dc If

 

 

   

l colline
jamais,
ne nou-
ntre les
I antics
. d’Or—
:oup en
let, les
de Du-
(pulslon
:rtemcnt
L Mon—
e beau—
se faire
clue est

iommes
qtn est
Formées

[nrseille
nteresse
se , qui

prisons
s—Fmrr-

police
'nivi/I'e ,
, orclte
ention;

de la
ention ;
gustin ,
.lieims ,

.1111.

i avril 9‘
gement

ne cles
ue Ni—
devan:
.s clans
Tréves
ii,sans
de ce
5 (lCIj

 

 

_nier,'entre onze lieures et midi, aborclé an
coin do la rue de la Hucliette, un grouppe
d’ouvriers qu’il nc connoissoit pas. _

2°. Qu’il est constant que Nicolas Lntnicr
est convnincu d’avolr demandé i ces ouvriets
s'ils éioient putriotes Ct républicains , CC‘ 5115
avoient une nine; et sur leurs réponses nflirma-
tives de leur avoit dit que son ame étoxt pour
son toi, qu’il l’avoit bien payé; que si 1e roi
étoit mort , il existoit encore, er qu’il paroltron
sous pen.

3". Qu’il esr constant que Nicolas Lliutier
a declare qu’il falloit un roi.
- Le tribunal, faisanr droit sur les conclusions
(le l’accusateur public,eondamne Nicolas Luthier
El la paine de mort, conformémentzi la loi
du 4. de’cembrc 1792', otdonnc que ses biens,
si aucun il a, demeureront acquis et confisqués
au profit de la république, et quc le présent
jugement sera exécuté sur la place de la mais‘on
commune de cette ville de Paris, imprimé et
afliclié dans les 86 départemens.

Can'vaurioNNAriouALE.

Dc’cret .mr I: change et les assignat: _, rena'u
dim: [a :c'mzcc till 9 de ce mois.

Art. I". n A comptet de la publication du -

present décret, la négociation publique deslettres~
de-chnnge , billets er autres effets de route na—
ture sut des places de commerce on villes situécs ..
'dans les pays gouvernés par. les personnes qui
sont en guetre avec la républxque , est prohzbéeg
en cOnse'qiieiice , il est défendu de coter , publier
er imprimer le cours des changes avec ces places
on villes.

H. Ceux qui constevicndront aux dispositions

quéte et diligence du procureur de 1.1 commune,
et condamnés par le juge de paix Ll une amende
qui ne pcurra étre moindre dc deux milie livres,
laquelle scra pergue, au profit de la ration,
par le receveur du Vdroit d'enrc-gisrtement.

III. A comptet de la publication du present
décret, la vente du numéraite , clans toure
l’e’tenclue clu territoite frangais; on occupé par
les armées francaises, sera défendue , sous pcine
de six années de gene, pour les personnes qui
seront convaincus d’en avoir acheté ou vendu.

de l’article pi‘écédent seront poursuivis i la re— a

 

as} "W

 

__._.A,..._.<

 

 

 

 

IV. L'exportation des cspéces et des lingots 1

.N.“

Mime.

d'or ou d’argent hots le tCX‘l‘liOll‘C ,frsngais.‘
on occupé par les armées frangaises , est
prolii ée, sous pcine de Confiscation an profit
de la nation, et d’une amencle qui ne poutra
étre moindre do too livres, laquellc sem pour—
Suivie par le procureur syndic du district, pat-
devant le tribunal de district, at sera pergue
an profit de la nation par le receveur du dtoit
d’enregistrement.

V. Toute pcrsonne qui i‘efusera de recevoir
des assignnts en payement y sera contrainte par
le juge de paix , qui la condamnem en outre al
une amcnde du dixiéme du montant de la somme
refusée, laquelle amende sera pergue, an profit
de la nation, par le recevcur du droit d’enre-
gistreinent.

VI. Les commissaires de la convention, qui
se trouvenr clans les pays occupés par les arinées
de la république , son: autorisés i prendte tomes
les mesures qu'ils )ugeront convenables pour
établir, favoriser 6E accélérer in circulation dos
assignats n.

Dc’crez sur 1: partage dc: Mans communanx.

Art. 16:. u Les biens communaur sont ceux
sur la propriézé ou produit desquels tons les
habitans d’une ou de plusieurs communes on:
un dtoit commun.

II. Une commune est une société cle citoyens
unis par des relations locales, soit' qu’elle form:
une muuicipalité particlle, soit qu’elle fasse partie
cl’une municipalité plus considerable; cle maniérc
clue si une mnnicipalité 'est composée de plu-
Sieurs scctio ns difle'rentes , et que clmcune d’elles
air des biens communaux séparés, les liabitans
seuls de la seCtion qui jouissoit du bien com—
munal, auront droit an partage.

HI. Tous les biens appartenant aux communes,
soit comznunnux , soit patrimoninux, de quelque
neture qu’ils puissent étre, pourront (:ti'e pm‘tages,
s’ils sent susceptibles de pattage,xlans les formes
er d’nprés les régles chevant prescrites , et sziul:
les exceptions qui seront prononcees.

IV. Seront exceptés du part-age les places,
les promenades et vines Pllbllqilks, les Fossés er
les tempntts des communes , les edifices et ter~
reins destinés au service public.

_V. Sont parcillcment exceptés du pattage les
bois communaux, lesquels setont soumis aux

   
  
 
  
  
 
 
  
  
 
 
  
 
 
  
 
  
  
 
  
   
 
 
 
  
 
  
 
   
  
 
  
  
  
 
 
   
   
 
   
     
   
  
    
 
   
   
    
  
   
  
 

mu. :- , 31.... iii-4.5.; “34B" *..Wtr:mu .r . ' “ '

  

    
   
    
  
 
  
  
 
  
 
 
  
 
  
  
  
 
 
  
  
 
   
 
 
  
  
  
 
  
 
 
  
 
 
 
  
  
 
  
  
 
 
  
   
  
   
 

regies quit ont été on qni setont de’crézées pour
l’administmtion des ptoptic’tés nationales.

VI. Lotsquc d’aptes les visites et proces-vet-
banx des agens de l'aministtation forestiete,
anxquels seront ioints les officiets municipanx,
i1 demeureta constant que tout, on portion d’un
bots n’esr. pas d’nn prod-nit snflisant pout tester
en cette nature, l’exception portée en l’article
precedent n’anra pas lieu pout cette pattie : :‘1 cet
effet il scm délibeté et smtné snt son templa~
cement .par l’asseniblée des habitans, dans la
tonne Ci-aptes pres.tite.

VII. Si ’16 sol des communanx e‘st submergé
en tout ou pattie, et que le essechement ne
puisse s’opétcr quepat une entreprise géne'tale,
le pattage de la partie submerge’e se‘ta s-uspendu,
jusqu’i ce que le desséchement son exe’cnté ».

Suite de [a se'tz/zce du mercrea’i 10 avril.

La convention décréte qu’elle entendta le
comite’ dn Saint public. 11 pripose dc rendre
liommagc an pitriotisme du Minisrte de 1:).
marine, mais de le 'remplacet, parce que l-ni-
meme me so semant pas l’acnvné nécessaire,
demnnde :i l’ette. Dc’cre’zu’. Le minillte de la
marine designe pour lc porte-feuille, le citoyen
Dclbarade , nn cle ses mljoints, il es: nommé.
Au meme instant Boucbotte, minisne de la
gue‘trc entte , et prompt :i la. Convention qu’il
feta tous ses efforts pout répondre 515a con-
fiance.

La discussion reprend sur la vétition de la
Hallo an bled. (1) Guatlct appelle sut elle la
vengeance nationale : il Vent que l’accusatenr pn—
blic soit mandé d la barre , pout dire pontqnoi
il n’a pas poursuivi les auteurs de la conspirntion ,
qui a e'claté contte la convention, dams 1.1 unit
«in 9 an 10 dc Mars detnicr.

Robespietre combac Guadet , il declare qn’il
v.1 cnlin decl‘iitet 1e voile. On lni crie du c693

 

(I) anil‘e d’liier, dsrniére liqncz on passe 51
.i’ortite dn Jout, Lisaz :‘ Danton demmde qu’on
puss: .i l‘ordrc «in jdur.

'in (outer-t d Paris an bureau de in Veilette,

 

 

 

droit : Our, on". 11 commence” le técft the tour
ce qui a précédé et suivi 1e to aofit , e‘t clans
la chalne ‘des é’venemensyilrttouve la pteuvc
des trahisons de Btisso: , Guadet , Vetgniand ,
Gensonné', il les dénonce nominativement. Je
demande, dit-il en finissant, 'le de’cret d‘accuh
sation contte Egalité , fils; Bgalité , péte ', Sillety,
et tons les anttes que vous avez'm-is en état
d’attestation. ’ -

Décret qui mande 31 la barre les signataire‘c
de la petition. '

Se’ance du jeudi n avril.

Taillefet, député, pottant nne cocatde na-
tionals de mban, all-ant :l 1:1 convention, est ab-
tété, insulté, malttaité; i'l cite la. loi qui pare
met de porter tells cocarde qn’on juge 3. pto~
pos , pourvu qu’elle soit aux couleurs nationales.
0n lui oppose l’atrété de la commune qui Ies
vent en laine. Un décret ordonne qne dote’na-
vant la force atmée ne ponrm arréter un repre-
sentant que lorsqn’il sera ptis en flagrant delit.

Dalbarade, ministte de la. marine temetcie
l'assemblée.

Une gtande discussion s’éleve su-r Ie commerce
de l’argent. Déctet qui en defend la vents dans
route l’etendue de laxépublique sous peinc de
10 ans de genetqui prononce des .peines contre
ceux (1:11 eXJgetorent un monulre on plus hunt
:prix snivant le paiemem en argent on numétaitc.
L’expottation des lingots cn matiete d’or et d’ar—
gent hors du royanme, est défendue. On ne
poutra rcfuset dcs assignats sonspeine d’amende.

On lit une proclamation aux Ftangais, dn
prince de Cobourg , an nom de l’empet-eur er
du roi de Ptusse pout sontenir [a entrcpn'scx
gc’nc'reuses L’t bicnfaimmcs de Dumouriet, nous
donnetons cette piece.

Le ci‘devnnt prince de Conty, détenu i
l‘alvlmye, clemande la levee cl'es s'cellés apposés
sut ses misses. On observe qn’on a tlénoncé qn’on
avoit pratiqné clicz lai des armon‘es secretes
contenmit des pieces impotrantes. On nomme
desl‘commissaires pour assister :i la levee (lCS
sce res.

 

boulevard do In pm‘l‘e Stint-‘r.’;n-tin , A celle Saint-ibenis , N". ;.

2.: prix cit:i’almnir—jnienr‘e’il tier; livres pour Yasmin, t,- liv. omit ii}; :noisJ 7- liv. minis pour'trois mois. 0n

pent s'a’wnmr pour dun); ill-Iii: en envoyant nn ifiigim: le cent fols.

/

 

NA

ooh-nu